Les premiers prototypes de l'AS 21 Redback sont en cours d'assemblage au sein de l'usine sud-coréenne de Changwon. Cinq à dix engins seraient en cours de production sur le site d'Hanwha et devraient remis à l'armée australienne pour une série de tests et d'évaluations avant la livraison des 129 engins commandés. Assemblés au sein du H-ACE (Hanwha-Armored vehicles Center of Excellence) dans l'état de Victoria, ces engins devraient être livrés à l'armée australienne entre 2027 et 2028. En dépit de la réduction du nombre d'engins passé de 450 à 129, le contrat de fourniture d'un montant estimé entre 5 et 7 milliards de dollars australiens (3 à 4,2 milliards d'euros) reste le plus important programme d'acquisition de l'armée de terre australienne. L'AS-21 Redback, vainqueur de la compétition en juillet 202, combine un châssis Hanwha avec une tourelle dérivée de la MT-30 d'Elbit Systems armée d'un canon Mk44 Bushmaster II et de missiles antichars Spike 2LR installés dans un lanceur rétractable. A noter que l'AS-21 est équipé de chenilles CRT (Composite Rubber Track) produites par la firme canadienne Soucy.
mercredi 3 avril 2024
LES PREMIERS REDBACK EN COURS D'ASSEMBLAGE
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RépondreSupprimerBoxer, Redback (Ils ont "les deux" tiens donc, eux aussi ; comme tous ; ou la plupart...), Abrams M1A2 sep 3 de toute dernière génération également (C'est pas eux qui auraient l'idée, saugrenue, de "régénérer" des VBL vieux de 35 ans !!! Ils se sont même rééquipé récemment de Hawkei.), sous-marins, frégates, F35, et autres, dites donc ça réarme pleins pots ; chez eux, et partout ailleurs d'ailleurs (!!).
RépondreSupprimerEnfin, presque partout... "Pendant ce temps là"... ... ...
Et oui, cela fait longtemps que je défends l'idée d'un chenillé léger de la classe des 9 t, du genre Scimitar ou Spartan " UP to date". Beaucoup d'avantages, mobilité sur terrains souples, profil bas , capacité amphibie, protection ....
RépondreSupprimerFana 👍
SupprimerEt moi, plutôt ceci :
Supprimerhttps://fr.wikipedia.org/wiki/Rheinmetall_Wiesel
Modernisés, pour pouvoir les aérotransporter (Jusqu'à 6 dans un A400m.), voire héliporter (Deux dans un CH53.) (Si on avait des hélicoptères lourds de transport ; un jour, peut être ?), en nombre (Moins de cinq tonnes et de dimensions réduites également).
Il reste cependant la consommation de carburant, qui demeure pour l'instant supérieur de 20 % environ avec des chenilles composites par rapport à un véhicule à roue de poids équivalent (Moins blindé et protégé donc.).
SupprimerOn est néanmoins très loin des 100 % de carburant en plus des anciennes (Aujourd'hui on dépasse les 50 tonnes avec des composites.), chenilles métalliques. Mais vu les avantages tactiques, considérables, de la chenille, composite : 20 % ...
Les choses ont en effet beaucoup changé de ce coté là, de la mobilité et des chenillés, en vingt ou trente ans.
Réveil !!! ...
Et comme les blindés sur chenilles composites sont 15 % environ plus légers à niveau de blindage égal que ceux sur roues ...
Supprimer... La consommation en carburant devient donc quasiment égale ; dés à présent.
Reste uniquement la vitesse, très légèrement supérieure, d'une petite dizaine de pour-cent, pour les véhicules sur roues...
... Sur routes, bien goudronnées, uniquement...
En tous terrains, ou même simplement en "tous chemins", c'est toute autre chose et tout l'inverse même.
"Réveil" ...
Qui plus est facile a développer avec des composantes sur étagères....
RépondreSupprimerA l'époque la France n'avait besoin que d'engins à roues pour sillonner le terrain africain, et le hors piste aurait été perçu comme agressif pour les mandats ONU etc...Aujourd'hui il serait peut etre judicieux de songer à s'adapter à la situation , et non pas attendre 20 ans et se dire...Ah oui ça aurait été pas mal une chenillette pour aller au charbon.
RépondreSupprimerÉvident ! 👍
SupprimerC'est sûr qu'avec des Jaguar et leurs dimensions hallucinantes, cela ne va pas faire agressif non plus. Plus qu'un VHM par exemple en tous cas.
SupprimerEt restons bien sur les itinéraires prévus à cet effet, des fois qu'on loupe un IED !!!
Démonstration est faite que mines et IED ne se trouvent pas que sur les chemins ou leurs abords.
SupprimerLes IED sont uniquement placés sur des itinéraires prévus à l'avance.
SupprimerA ne pas confondre avec les "champs de mines", encore une fois...
"Aujourd'hui il serait peut etre judicieux de songer à s'adapter à la situation , et non pas attendre 20 ans et se dire...Ah oui ça aurait été pas mal une chenillette pour aller au charbon."
Supprimer... Et ne pas passer encore complètement à coté d'une vraie révolution technologique, un vrai changeur de donne en matière de mobilité en l'occurrence (Y compris en matière tactique, discrétion etc.), que constituent les chenilles composites depuis un quinzaines d'années maintenant...
Pour une fois qu'il y en a une, réelle, on est encore fichu de passer à coté...
...Dans notre dogmatisme aveugle du seul tout roue en même temps ce n'est guère si étonnant que cela finalement, malheureusement.
Un itinéraire aléatoire est par definition difficilement prévisible, sauf en sortie de casernement, sur un passage obligé en urbain ou sur des axes contraints.
SupprimerLa progression peut être canlisée par des champs de mines (minage de zone). La finalité étant un bouchon de mine avec un système "piloté" pour les embuscades en asymétrie ou combat d'harcèlement.
Les itinéraires "connus" ou prévisibles doivent faire l'objet de moyens spécialisés pour les sécuriser. Merkava et M1 en ont, aussi, fait les frais.
La mine ne se pose pas n'importe où et n'importe comment, malgré les apparences. Le risque étant de sauter soi-même dessus, comme les russes, faute d'être programmables, sans oublier les "lois de la guerre" dont beaucoup en ont cure...
L'IED est un moyen improvisé, artisanal ou adapté au contexte. Tous les moyens sont bons. Cela n'empêche pas d'avoir des armes puissantes et efficaces comme des CGN !
Le retrait des mines antipersonnels est une erreur historique et technique pour les postures défensives.
On vous parle ici concernant les IED de conflit asymétriques, presque par définition, où il faut surtout patrouiller (Sur routes et itinéraires définis...) presque en permanence...
SupprimerArrêtez de tout mélanger, et sur la moindre remarque, vous êtes soulant à force.
D'abord je mélange ce que je veux et je soule celui qui veux bien me lire... il n'y a aucune obligation, à moins d'être masochiste. :)
SupprimerMême avec des engins conçus pour répondre à cette menace par leur conception, du blindage ou des contre-mesures, rien n'est indestructible, même les plus lourds ou les mieux protégés. En asymétrique ou autre.
"Patrouiller" doit avoir un sens en sus de "chercher" mines et IED. La surveillance et la recherche des pièges explosifs peuvent être réalisées par des moyens appropriés, y compris 3D. Bien sûr, faire présence, observer, se déplacer et manœuvrer sont des actions nécessaires.
Sur certains terrains comme au Mali, il n'y a pas de piste formalisée, en d'autres lieux seule une étroite route permet le mouvement terrestre. L'urbain est un cas complexe en fonction des axes disponibles.
À chaque contexte et terrain il y a des manières de procéder, du plus léger avec une sonde, au plus lourd comme de Caterpillar D9 Doobi... appuyé par du 155 mm.
Sinon, il s'agit d'un risque évalué et de probabilités.
La Stat sait parfaitement ce que valent les CRT, il y en a sur VHM... Nous avons les retex Mali (passe partout bien mieux que les roulettes, excellent en saison des pluies, mais 200km sur bitume usent le caoutchouc à grande vitesse, pas fait pour les grandes distances). Michelin aussi puisqu'ils ont racheté CAMSO pour monter en compétences là dessus. Pour le reste, je ne m'avancerai pas... On sent toujours un petit blocage français sur la chenille...
RépondreSupprimerLe VBCI le plus sous-estimé de nos jours
RépondreSupprimerMais encore... ???
SupprimerKamelot6 avril 2024 à 21:34
SupprimerEncore quoi ?
Un développement pour enrichir l'expression qui suppose que le VBCI a des qualités méconnues,
Supprimerce dont je ne doute pas.
Ne perdez pas votre temps à essayer de dialoguer avec kamelot, il a toujours raison.
RépondreSupprimerLes chenilles composites évoluent très très rapidement, depuis plus d'une dizaine d'années ; leur endurance par exemple est de plusieurs dizaines de milliers de kilomètres aujourd'hui.
RépondreSupprimerhttps://blablachars.blogspot.com/2021/05/la-chenille-composite-lavenir-des.html
Mon premier propos etait de faire parler... :)
RépondreSupprimerAh, toujours la même histoire... l'une est plus adaptée sur des terrains difficiles avec charge lourde et l'autre plus rapide pour les grands déplacements.
Le VHM, de par sa technique, n'a pas les mêmes capacités de déplacement rapide et sur la durée qu'un VAB, surtout par temps chaud.
Un compromis entre les deux serait parfait... :)
Un moment envisagé pour le VBM, la chenille n'a pas trop été adoptée par les véhicules blindés légers. Les modes passent... mais cela pourrait revenir avec les drones terrestres.
Les théâtres d'emploi ont aussi leurs sujétions, ainsi que les effets recherchés.
Les deux modes sont complémentaires, sinon l'un ou l'autre aurait disparu.
En terme de kilométrages, la durée de vie des nouvelles chenilles souples composites est actuellement à peu près la même que celles d'un jeu de pneus, de 50 000 km en conditions normales d'utilisation.
RépondreSupprimerQuant à leur coût, celui est également globalement le même que celui d'un jeu de huit roue d'un VBCI, voir un peu moins même : Entre 20 et 30 000 euros pour deux chenilles souples et pour un engin de 30 tonnes ou plus.
Sachant qu'un jeu de huit pneu de VBCI coutent plus 32 000 € (plus de 4 000 € le pneu.). Ces derniers s'usant extrêmement rapidement dans certains environnements abrasifs : au sahel par exemple leur durée de vie est très réduite, à peine à quelques dizaines de milliers de kilomètres.
Là aussi d'ailleurs, la pression répartie au sol des chenillés en général fait que plus que probablement ils s'useront moins rapidement.
Il y a des gens ici qui ne connaissent pas du tout la réalité de l'usage et de la maintenance des véhicules dans une armée.
RépondreSupprimerBalancer que des chenilles vont durer 50 000km ou que des pneus vont durer quelques dizaines de milliers de km, c'est n'importe quoi.
Les véhicules militaires roulent très peu, vous avez aujourd'hui des VAB qui ont 40 ans mais vont afficher 15 000km au compteur.
Dans la maintenance en général dans l'armée, l'usure est plus "temporel" que sur un kilométrage. C'est comme une courroie de distribution, sur le papier on va vous dire que ça tiendra 150 000km ou 6 ans. Que ça roule ou non, tout s'use avec le temps et comme dans le civil, un vieux diésel qui ne roule pas aura plus de problème qu'un autre qui roule, à mettre en perspective avec ceux qui pensent qu'on peut stocker les anciens véhicules sans les entretenir.
Les véhicules militaires s'usent et se cassent essentiellement par ce qu'ils sont employés dans des conditions difficiles, les distances ne veulent rien dire. Ces conditions difficiles vont amener des chocs, des déformations, des enfoncements qui constituent les casses.
Va falloir arrêter de jouer aux experts derrière un écran en disant le contraire de ce que tout le monde fait et constate, un chenillé est plus emmerdant et plus coûteux à entretenir qu'un véhicule à roues. Il n'y a pas à discuter du coût d'un pneu ou autre, la chaine de maintenance, ses recommandations, ses complexités dépassent largement une histoire de coût d'un pneu ou d'une chenille.
On ne parle pas là des avantages opérationnels de l'un ou de l'autre, mais du côté "maintenance".
Si tout cela serait faux, ça se saurait, au delà des discussions de gens sur des blogs qui pensent mieux savoir que tout le monde en raison de quelques infos observées ici ou là.
"des VAB qui ont 40 ans mais vont afficher 15 000km au compteur", etc.
RépondreSupprimerDécidemment les comiques sont de sortie !
"Décidemment les comiques sont de sortie !"
RépondreSupprimerC'est bien ce que je disais, il y a des gens qui ne connaissent pas la réalité de la maintenance dans nos armées.
Quand je dis qu'il y a des VAB qui ont 15 000km au compteur après 40 ans, c'est du vécu, si ça te semble comique, c'est bien la preuve que tu es totalement étranger à ce qui se passe.
Ce n'est pas derrière un écran qu'on "sait", derrière un écran on "imagine".
Les blindés en général roulent peu, ils vont sortir de temps en temps dans l'année et ils sont mis directement sur PEB au régiment jusqu'à sa zone de manoeuvre soit mis sur les rails. On réduit au maximum l'usage des véhicules pour économiser le potentiel.
Sauf à aller chercher l'exemple de véhicules en Opex comme sur Barkhane ou les engins étaient sollicités sur de longues distance, en France c'est une autre histoire.
Un blindé qui fait plus de 1000km par an, c'est rare. Si vous seriez un minimum connaisseur et auriez déjà vu les relevés de potentiel (réalisés tous les mois)pour le kilométrage et les heures de fonctionnement du moteur sur les véhicules, vous fermeriez votre gueule plutôt que de prendre les autres pour des "comiques"
Mais bien sûr on a gardé nos VAB pendant quarante ans bien au chaud (Sous cocon en effet souvent. Mais cela n'en fait pas une généralité ; heureusement d'ailleurs.) ; pour les quarante prochaines années sans doute ? ...
RépondreSupprimerOn est en train de cannibaliser les derniers pour faire rouler ceux qui sont encore capable de rouler.
Ah les comiques aigris...
Mais tu es imbu de ta propre personne ou quoi?
RépondreSupprimerCela me conforte dans l'idée qu'en dehors d'internet et de tes convictions, tu ne sais pas du tout comment ça se passe dans nos armées.
Tu crois savoir des choses que tu ne connais pas. La "vie" d'un blindé dans l'armée ce n'est pas la vie d'un camion logistique. Il va participer à 2 ou 3 manoeuvres dans lesquelles il va faire quelques dizaines à quelques centaines de km. Le reste du temps il va peut-être servir à de l'instruction très localisé. Comme je l'évoquais, très souvent les grands déplacements se font sur PEB.
Cela ne veut pas dire qu'ils sont "sous cocon", c'est juste comme ça que ça se passe depuis bien longtemps avec tous les blindés.
Préserver le potentiel des véhicules n'est pas une anecdotes, le suivi du potentiel pour la maintenance n'est pas pour faire joli.
Le problème de ce que je dis, c'est que ça met en défaut ce que tu dis, c'est juste ça qui t'emmerde, ce n'est pas une quête de vérité.
La "cannibalisation" d'un véhicule, revient à prélever des pièces sur des véhicules retirés du service ou qui sont sur une position similaire. C'est à différencier du "prélèvement" qui revient à prendre sur autorisation particulière une pièce d'un véhicule pour en équiper un autre. Ce qui est très rare, c'est aussi pour ces raisons qu'un grand nombre de véhicules vont être indisponibles en même temps. Si vous imaginez que dans les unités on va avoir un VAB indispo pour casse moteur et un autre indispo pour un problème de freins et que les mécanos vont prélever les freins du premier pour les mettre au second, vous n'avez rien compris.
Descendez un peu de votre nuage et cessez de prendre les autres pour des comiques car vos connaissances sont très limités et c'est bien là la raison du pourquoi vous êtes constamment en "conflit" avec tout le monde, ici et ailleurs.
Ce n'est pas vous qui savez et tous les autres qui ne savent pas, vous avez énormément à apprendre et surtout énormément de choses à revoir sur ce que vous imaginez savoir.
Mais continuez donc de prendre les autres pour des cons, vous ne faîtes que vous enterrez personnellement.
Que de haine !
RépondreSupprimerVous devriez vraiment vous faire soigner.
Vous qui pourchassez et harcelez un pseudo "Ronin" depuis des années sur divers blogs.
Ce n'est pas moi qui vous a virer d'Opex 360 (J'avais décroché bien longtemps avant.) et des autres blogs (Air défense etc.) mais votre agressivité et votre intolérance, et votre prétention de donneur de leçon également.
Encore une fois vous n'avez qu'à vous en prendre qu'à vous même, au lieu de rendre les autres responsable de ce que vos récolter à juste titre finalement toujours à la fin.