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dimanche 13 avril 2025

DES PETITES CHENILLES TRES UTILES

Contrairement à ce qu'indique le compte officiel des Forces françaises en Estonie (@FrForcesEstonia) ce n'est pas la première fois que les unités françaises ont recours au Véhicule Haute Mobilité (VHM) pour mener leurs activités opérationnelles dans ce pays. Déjà en 2022, le SGTIA (Sous Groupement Tactique Inter Armes) Lynx armé par le 13ème Bataillon de Chasseurs Alpins avait emmené avec lui des VHM qui furent acheminés par train jusqu'au camp militaire de Tapa en Estonie. Le recours à des véhicules chenillés est une vieille tradition de l'armée de terre, quand ses unités sont confrontées aux réalités du terrain, quelque peu différentes des paysages jusque là privilégiés. Pourtant sous ces latitudes plus méridionales, les chenilles se révèlent également fort utiles au moment de la saison des pluies comme en témoigne la projection en 2019 toujours aux mains des Alpins, ici du 7ème Bataillon de Chasseurs Alpins de VHM dans l'opération Barkhane. Sans parler des nombreux dépannages "sauvages" réalisés dans la même opération par les Lance Roquettes Unitaire du 1er Régiment d'Artillerie. Bref, au moment où le Serval commence à poser ses roues dans les unités légères, on peut s'interroger sur la mobilité de ce nouvel engin de 15 à 17 tonnes, mû par u moteur (américain) de 375 ch. Ce nouveau déploiement de VHM suffit à lui seul à rappeler que les qualités de mobilité d'un engin chenillé sont largement supérieures à celles d'un engin à roues, et qu'en plus le VHM (dont le poids maximum peut atteindre 17 tonnes ) doit pouvoir embarquer à bord d'un A400M ! Il serait peut-être temps de tourner le dos à des décennies de mépris pour la chenille et au moins reconnaitre son utilité en termes de mobilité et au final d'efficacité opérationnelle.

 
VHM en direction de l'Estonie en 2022 (Photo EMA)

VHM à Barkhane en 2019

VHM en Estonie en 2025 (Photo EMA)

24 commentaires:

  1. Réponses
    1. Scorpionisé, ce serait un peu l'actif en dernier recours au sein d'un portefeuille d'actifs guerriers considérés qui doivent conserver, gagner, ou rendre "de l'alpha" (tel une bête polymorphe autonome à se commander dans son périmètre de terrain à batailler à un univers d'actifs guerriers ennemis). Cet actif chenillé permet d'ajuster de façon ad'hoc "le bêta" dudit groupe à l'aulne de la motricité sidérante. Son rôle semble être spécialisé dans la logistique de ravitaillement "mutualisé & très lourd" façon fil d'Ariane depuis la base et inter-actifs du groupe. Donc, le VHM devrait être qualifié encore plus rigoureusement d'option motricielle en dernier recours de ce groupe, puisqu'il est le seul parmi tous ses actifs confrères à devoir \ pouvoir rentrer dans l'extrême de la longueur de l'étendue de la queue de distribution de la motricité sus nommée, motricité dite "normale" seulement quand elle est centrée et réduite de par ce qui se rencontre à plus de 68% des voies de déplacement rencontrées ici.

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    2. Il est certain que la "scorpionisation" de ce véhicule permet d'adapter aussi les stratégies zé tactiquettes à utiliser sur le terrain. Pouvoir modifier la configuration d'un ou de plusieurs groupes d'actifs à effets propres, selon la résistance ou selon l'étendue dégagée, s'ouvrant devant soi est une chose. Mais même au moment de l'action, la gestion de la stratégie qu'un groupe peut utiliser (donc la séquence des ordres pour faire bouger les actifs) peut varier selon l'information du `où en est la rotation de munitions?`... Et puis, bijectivement, quand cet utilitaire va revenir, sa stratégie d'entrée dans le groupe pour re-doter tout un chacun selon sa spécialisation en ogives à impacts de magnitudes différentes en sera facilitée.

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    3. Tiens, c'est étrange??! Je n'est pas trouvé nulle part l'information officielle de sa "scorpionisation" officielle. C'est peut-être classé confidentiel. Je n'espère pas, car sans cela, 'vaut mieux se faire porter pâle et rester chez soi à jouer à la PlayStation: c'est plus sûr pour scorer, amho.

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    4. Avec un exemple plus précis en tête: si un groupe est en plein polymorphisme pour sur-pondérer un "momentum" se spécialisant grâce à plusieurs Jaguars surjectionnants, en les spécialisant mutuellement avec le même type d'ogives contre le même problème résistant, 'faut vraiment que ce "Saint Bernard" des champs de bataille soit scorpionisé pour qu'il ait l'information la plus claire possible consistant à savoir "délivrer où et pour quel Jaguar du groupe par le plus court chemin", sinon... Déjà que sans se faire tirer dessus, des livreurs "Lambda" s'énervent parfois s'ils doivent attendre plus de 15 secondes à la sonnette. Alors sur un champ de bataille, les noms d'oiseaux vont vite fuser si c'est le dernier des Jaguars visités qui est empiriquement le seul récipiendaire demandeur de la première palette à sortir du "Saint Bernard"!

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    5. Sinon, sans Scorpion, 'y a la méthode dite du tirage aléatoire qui s'appelle le "plouf-plouf": "Ce se-ra toi ce Ja-guar que j'i-rai vi-si-ter le pre-mier!" [sic], à impérativement coupler avec une prière à Sainte Rita, en zone "haute densité & haute magnitude", amho.

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    6. Ce blindé m'apparaît être EXACTEMENT ce qu'il faut, pour incarner le corps d'une "bête polymorphe", à partir du bestiaire de véhicules de l'Armée française, en Europe du Nord ou Centrale, là où les extrêmes de motricité peuvent apparaître, à leur fréquence certaine. D'ailleurs, les suédois ne s'y sont pas trompés en le nommant *véhicule de commandement et de logistique*, avec son corps articulé et sa remorque arrière. Ce véhicule peut servir à _réassurer_ (assurer une assurance) un groupe de véhicules contre l'enlisement. Bon, beaucoup de véhicules sont à roues, sauf le véhicule LeClerc utile le moment venu pour faire du "crocodile contre crocodile", c'est-à-dire apparaître furtivement pour détruire un tank armuré adverse. Les autres véhicules sont plutôt à ranger dans le groupe "chats sauvages", allant d'épiage en épiage. Il manque un véhicule pour les articuler physiquement quand nécessaire, faire un lien entre les véhicules composants de la bête composite: ce VHM est inespéré! Après, comment conscientiser la bête de ses facultés mentales? L'IA est là, juste à point nommé: les réseaux de neurones savent reconnaitre le faciès d'un homo-sapiens en Chine. Ce faisant, la police chinoise suit les métriques en directe de chaque citoyen chinois marchant dans la rue et filmé: des données à leur avantage et les infractions dont ils sont débiteurs. Bref, l'IA peut reconnaître et classer en catégorie "allié" ou "ennemi". En France, c'est interdit. Je ne sais pas ce qu'en dit la CNIL, concernant les chars? Mais je continue. Cela veut dire qu'extrapolé au bestiaire desdits chars, l'IA peut servir à identifier et nommer un char adverse. Tentons une application sur le marché très concurrentiel des carapaces de chars:

      rendement
      α (alpha)
      ↑ ↗ blindage STANAG
      | ↗
      | ↗
      | ✗ βi (bêta)=notre chars sur la ∑j des blindages existants
      | ↗
      ┼---------→ rendement (linéaire de pente 1) sur le marché des blindages STANAG

      Bon, ici, j'ai dit que c'est un linéaire de pente 1. Vers des pentes +1, il est possible de ranger les boucliers à fendre (notre score offensif), et vers les -1 et bien il est possible de ranger les épées qui nous fendent (notre score défensif). On peut imaginer faire la somme de deux pour savoir ce que l'on vaut. On peut imaginer faire la somme du groupe par rapport à un adversaire seul ou plusieurs adversaires en face pour savoir si le groupe fera l'affaire ou pas, même face à un seul char isolé.

      J'ai donc proposé de ranger sur la droite des rendements STANAG, chaque effet (point dit "bêta i"). Si l'on peut mettre chaque effet sur un axe, on peut obtenir un bêta offensif composite pour le groupe et un bêta défensif pour le groupe. Évidemment, il faut faire attention au gros bêta :) Certes, cela ouvre la porte à du multiaxe. Peut-être que les laisser chacun de leur côté est plus parlant parfois, parfois les congréer en un seul nombre, quitte à faire des équivalences en roulant d'axe en axe vers des axes plus lointain est imaginable. Mais cela ouvre la porte à l'analyse de risques en disant ce que l'on peut faire par rapport à chacun des effets de l'univers existant des effets recensés et connus, et inversement. Ce faisant, il est possible de calculer un risque gain/bénéfice, et inversement, de tout un chacun ou du bon groupe à constituer par rapport à l'adversaire isolé ou regroupé. Mais cela nécessite qu'un actif doit gagner ou couvrir un effet contre un effet opposé pour TOUT le groupe effecteur considéré. ⚜ ☩

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    7. Bof ☹, je n'ai pas réussi à dessiner une droite avec des caractères ASCII: normalement, ci-dessus, il y a une ligne à 45° formée de caractères "↗": factuellement, une fois le mesage posté, ils sont venus se coller contre l'axe des y. J'ai repris la convention dite "alpha" et "bêta" plutôt qu'x et y, car "alpha" et "bêta" sont du jargon du domaine financier.

      ATTENTION: pour comprendre quelque chose en gestion de risques, les effets doivent être décorrélés entre eux au maximum, chacun rangé sur son [axe]: par exemple, on ne mélange pas les fumigènes et les STANAG. Mais je le redis (la répétition est une figure de style qui n'a pas que des vertus chez les comiques): pour comprendre ce que l'on peut faire en gestion de risque, un actif doit gagner ou couvrir contre un seul risque pour /TOUT/ le groupe considéré!

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    8. Ouais, ben quand je dis que la ménagerie de l'armée française est plutôt à base de chats sauvages (rien à voir avec les "Stray Cats" et le Rock à Billy), je veux dire des chats agiles qui craignent d'avoir des catons (des bourres) gelés sous les pattes! Et pendant que j'y suis, 'suffit de renommer le crocodile en lion dans le groupe, et le groupe restera homogène.

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    9. Et au milieu, le VHM serait plutôt à ranger dans la catégorie `Marsupilami, ordonnant ses "houba houba hop!"` :)

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    10. Hé, hé, hé: en plus, le Marsupilami est complètement raccord avec les Jaguars, il plaît zaux Belges zé Luxembourgeois, sans compter les belles histoires crédibles à raconter plus tard...

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    11. Test...



      ········droite à 45°
      ····↑···/
      ····|··✓✗ βi (bêta) du char cible sur la ∑j des blindages existants
      ····|·/
      ····|/
      ┼---------→
      ···✓
      ··✗ βi (bêta) de notre char sur la ∑j des blindages existants
      /



      ...?

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    12. Re-test...
      ····↑···/
      ····|··✓✗ βi (bêta) du char cible sur la ∑j des blindages existants
      ····|·/
      ····|/
      ····┼---------→
      ···✗ βi (bêta) de notre char sur la ∑j des blindages existants
      ··/

      /
      ...?

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    13. ┌ · · · · · ·
      ·····↑
      ·····|···droite à 45°
      ·····|···/
      ·····|··✓✗ βi (bêta) du char cible sur la ∑j des blindages existants
      ·····|·/
      ·····|/
      ·····┼------------→
      ····✗ βi (bêta) de notre char sur la ∑j des blindages existants
      ···/
      ··✓
      ·/
      └ · · · · · ·

      légende:
      • β = les faits quant aux [boucliers STANAGs] en présence
      • ✓ = les faits quant aux [mm perçables-par épées] en présence

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    14. Donc, juste avec ce petit graphique, on voit bien qu'il faut faire attention "aux gros |bêta|", et que "gagner de l'alpha" veut dire que l'on évolue vers plus de cibles détruites en tant que chasseur, mais que par contre "perdre de l'alpha" veut dire que l'on régresse dans la catégorie chassée.

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    15. J'ai simplifié, pour vulgariser, mais en garder LES BONNES MAXIMES en tête.

      Dans la vraie théorie des actifs collaborant ensembles, pour un groupe d'actifs donné donc, "gagner de l'alpha" consiste en réalité à créer la séquence d'actions pour arriver à mettre en place une sur-pondération en "momentum" de l'épée, et ce, en étant parti depuis une base solide. Puis de faire regagner tout un chacun (les autres, donc plutôt les actifs plus orientés bouclier) vers la zone dans laquelle est arrivée l'épée conquérante et de sécuriser, consolider en défense tout l'ensemble passé donc défensif.

      Perdre de l'alpha dignement, si possible, consiste en l'opération inverse, bien sûr.

      En fait, on a gagné de "gagner de l'alpha" que lorsque tous les actifs dont la tête pensante sont regroupées en un bastion dans l'attente de la logistique de ravitaillement: c'est donc un peu comme si la ligne horizontale des x du petit graphique ci-dessus, s'était déplacée d'un ou de plusieurs crans vers le haut (correspondant à une ou plusieurs cibles prévues et effectivement détruites dans le temps imparti).

      Le bêta est aussi un peu plus subtil que cela (en réalité, c'est un angle qui exprime comment un groupe tactique opérationnel d'actifs se comporte pour la chasse considérée ou par rapport aux variations de cibles considérées. Un gros bêta signifie réellement qu'il y a danger, évidemment. Ceci dit, sur les marchés financiers, il a une différence fondamentale à ici (bien que la signification reste la même): disons que l'apparition d'un gros bêta, d'une dimension dans un secteur-dimension considérée, implique une "énergisation" du contexte dans ladite dimension, qui va tôt ou tard entraîner une volatité-énergie extrême à venir, signe que l'on va forcément s'en prendre une monumentale et définitive si l'on ne n'infère pas rapidement afin de re-pondérer cette modification de variable pour re-conclure à comment organiser différemment la réserve d'actifs bordant "l'outlier" nouvellement arrivé.

      Donc, d'une certaine façon, j'ai écrit cela pour sensibiliser aux faits que notre Marsupilami commandant un groupe d'actifs collaboratifs, la tête pensante, est implicitement le mieux placé quand il est au point BARYCENTRE multi-dimensionnel offensif et défensif situé au milieu de ses félins, seule façon de diminuer les erreurs avec eux pour ordonner au mieux ses "houba..., hop, hop, hop, houba..., hourra!!!" de façon responsabilisée.

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    16. Et puis, souvent, ceux qui réussissent le mieux, manient le momentum de l'épée avec des actifs très réactifs en vitesse, donc plutôt agiles. Le (dé)momentum contraire du bouclier étant fait avec des actifs plus statiques car plus blindés. 'y a pas de miracle: l'épée doit prendre des risques et sortir de derrière le bouclier pour gagner de l'alpha.

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    17. La dernière remarque ci-dessus, dépeint ceux qui scalpent (industrialisent) en investissement financier, c'est-à-dire investissent avec au moins deux jambes. Après, les ruses sont, évidemment, en nombre de possibilités infinies du fait des combinaisons inter-marchés immenses. En réalité, un opérateur d'un actif est spécialisé dans deux marchés différents, et on lui demande de refaire la même chose encore et encore: en effet, n'est pas qui veut chasseur-cueilleur des plaines, des bois, des montages, des forêts, et de la mer.

      Et probabilistiquement, c'est normal, car au plus l'on veut utiliser d'actifs effecteurs impliqués zé séquentiellement articulés dans une séquence… au plus la probabilité de les articuler correctement diminue: le "Piscou-radin-entasseur-mais-pas-la-tienne" s'emmêle souvent ses pattes le moment de l'action venue :)

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    18. Après cette parenthèse spirituelle et enchantée (écrite seulement dans le but didactique du "bien montrer comment écrire toujours plus court avec de nouveaux clés et `démerden sie sich`" pour mettre des mots à leur place), je me dois de revenir un instant sur le bêta:
      - donc, on a vu qu'il faut un βi précis par effet-dimension.
      - il faut évaluer rapidement son βi par rapport aux βn possibles du champ de bataille.
      - l'axe des x est dynamique: à chaque nouvelle opération, voire survenue extérieure imprévue, cet axe se déplace de +α ou -α en crans d'ordonnées.
      - les deux axes orthonormés, servant à trouver son identité propre d'appartenance à la [dimension] de l'effet considéré, sont linéaires au niveau opérationnel, mais vont de transformer progressivement en logarithme népérien de ladite dimension, et ce, plus on va vers des analyses de l'État-Major.

      Reste à comprendre ce qu'implique l'emplacement des signes rigolos-cabalistiques-zigouigoui que sont ✓ et ✗, et ce qu'on peut bien faire de toutes nos brassées de βin pour un univers de [dimensions_n] considérées...

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    19. Mystère et boules de gommes, comme disent certains au CNRS...?

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  2. Je suis persuadé que ce créneau 15-20 tonnes chenillé (pas forcément articulé) pourrait être une excellente première étape rapidement atteignable pour le retour de capacités de mobilité tactique dans nos brigades (et la réappropriation de savoir-faire pour notre industrie).
    Son usage : montagne, franchissement de coupures humides, reconnaissance, robotique de combat...

    L'étape suivante serait la classe chenillée 40 tonnes pour le remplaçant du vbci et toutes les plateformes interarmes des 2 BB (génie, mo120, eli, pc, san, oa, etc...)

    Si nécessaire, et en fonction de l'évolution du programme mgcs, on pourra utiliser cette plateforme 40T pour faire un char médian. Et si on est motivé, on pourra faire un char lourd français grâce à la ré-appropriation progressive de savoir-faire par notre industrie.

    Laissons mgcs se dérouler puisque c'est un programme avant tout politique et que pas grand-monde ne pourra influer dessus. Mais que ça ne nous empêche pas d'avoir notre propre feuille de route adaptée à notre industrie, nos armées et nos clients.

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    1. Si un blindé de 15 tonnes est utile avec son blindé de niveau 4, contre tout ce qui est armement léger, un 40 tonnes n'a pratiquement aucune utilité à part arrêter du 50 mm (C'est pas vous qui nous parliez des avantages du 76 mm précédemment ?), un blindé de 30 tonnes (35 à roues (Plus lourd.)) capable d'arrêter de l'omniprésent 30 mm ("Niveau 6") avec les techniques actuelles (Blindage, chenilles composites, etc.) pourrait cependant avoir son utilité.
      Mais du 40T, même en cherchant bien ??!
      (En plus c'est plus lourd, pour rien.)

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  3. Il me semble qu'en 2018, les petites chenilles ont relevé les VBCI bloqués par l'hiver de l'Europe de l'est enplein milieu d'un exercice OTAN...
    https://www.opex360.com/2018/02/28/otan-moment-vbci-groupement-tactique-francais-deploye-lituanie-ont-ete-mis-hangar/

    De rien.

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    1. En Lituanie, en 2018, les VAC de la 27ème BIM ont remplacé les VBCI restės sous hangars en plein exercice OTAN :
      https://www.athena-vostok.com/et-si-nous-nous-etions-trompes-modele-d-armee-2030-un-article-de-2018

      On s'en est pas vanté !!!

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