Le numéro 101 du magazine TnT, désormais disponible en kiosque revient sur les raisons de l'échec de la contre-offensive ukrainienne. Ce long article rédigé par votre serviteur passe en revue les différents motifs qui ont amené les responsables ukrainiens et occidentaux à annoncer la fin des opérations entamées en juillet en vue de percer les lignes de défense russes. Également au sommaire de cette dernière livraison des articles sur les chars Renault R35, R39 et R40 ainsi que sur le Panther vu par les militaires français. On trouvera également un article nous rappelant qu'Alfa Roméo a aussi fabriqué des chars comme le AR51 Matta avant de découvrir les T-72 syriens ou encore le Jagdpanzer. Comme à son habitude TnT nous livre un numéro passionnant, à lire sans modération durant ce week-end pluvieux et venteux !
Merci pour l'info, sans être un habitué de cette revue je vais jeter un oeil.
RépondreSupprimerPour l'actualité récente avec la Bande de Gaza, RAIDS a édité un numéro spécial. À voir avec l'autre oeil...
https://raids.fr/2024/02/06/dossier-raids-no-4-le-hamas-attaque-israel/
Oui je l'ai lu !
SupprimerQuand on voit les polémiques sur les voitures hybrides-électriques, je suis dubitatif quand à la véritable performance de cette technologie pour des véhicules militaires de 32-35t. La vidéo montre bien la complexité mécanique depuis le moteur jusqu'aux essieux.
RépondreSupprimerA noter également la longueur de l'engin pour contenir 2+10 pax : 8,3m !
Dernier point : par rapport un UAV qui peut se déplacer (facilement) en 3 dimensions, quelle est l'efficacité réelle d'un véhicule robotisé / télécommandé à roues, avec toute la complexité de guidage / mobilité en terrain difficile, tout cela pour ajouter une capacité de tir direct limitée à du 12,5mm / grenades 40mm - il va falloir faire des expérimentation sérieuses !
oops sorry cela concernait le post sur le Terrex S5
RépondreSupprimerNo problemo, cela arrive même aux "meilleurs"... LOL
SupprimerPremier abrams fume
RépondreSupprimerCe n'est pas une première pour l'Abrams, il a déjà brûlé dans d'autres conflits...
SupprimerKamelot27 février 2024 à 13:00
RépondreSupprimerCe n'est pas une première pour l'Abrams, il a déjà brûlé dans d'autres conflits...
Oui mais jamais âpres seulement qqs heures de déploiement au combat ...
"Sa tête est mise à prix", il suffit de se trouver au mauvais endroit et au mauvais moment, de commettre une erreur de tactique dans le déplacement ou à l'occasion d'un renseignement (?).
SupprimerDu matériel blindé, dont un Terminator, ont été detruits par des drones dans des installations de maintenace. Les portes étaient restées ouvertes !
Il est difficile de faire une analyse précise des causes.
Cela ne préjuge en rien de la suite, sauf que cela révéle des insuffisances et des failles dans la protection.
Kamelot27 février 2024 à 19:42
RépondreSupprimer"Sa tête est mise à prix"
C'est valable pour presque tout les véhicules blinde dans une guerre...
Pas que, tout dépend du conflit et des modes de combat.
SupprimerIl y a aussi des notions politiques, psychologiques, médiatiques et de rentabilité des effets.
Au Mali, les VAB sanitaires étaient des cibles de choix et un quad en a fait les frais, aussi.
En Ukraine, les "petits nouveaux" sont très ciblés pour être sur la photo. Le must étantla capture. Des blindés neutralisés par des mines serront attaqués une fois les secours en place...
Pour autant un simple fantassin exténué et désorienté appuyé contre un arbre est une cible comme une autre pour un drone consommable. Il ne faut pas gâcher !
PC, dépôt, station radar ou de brouillage, antenne relais ou de transmission pour les drones font aussi l'affaire...
Donc, tout est relatif en fonction des priorités et des intentions. Une gare ferroviaire avec des civils n'est pas blindé, en principe. :(
Attention page 37 en bas il y a une boulette.
RépondreSupprimerJ'ai apprécié l'article sur les cope cages et leurs évolutions.
RépondreSupprimerL'encart sur le Caesar me semble excessif par rapport à d'autres REX (?!), même si tout est perfectible. La sortie de batterie est donnée pour 40 s, pas 5 mn, sauf plantage ou fuite hydraulique.
Certes, ce n'est pas un 2S22 Bohdana, ni un M777 et encore moins un Panzerhaubitze 2000. :)
L'analyse de l'échec de la contre-offensive des ZSU est factuelle et le constat consensuel, par définition. Les certitudes des Etats-Majors "occidentaux" dans un tel contexte pourraient, aussi, faire l'objet d'une analyse.
Les considérations, dans la conclusion, sur l'âge des combattants me laissent dubitatif, elles mériteraient une véritable étude avec une pyramide des âges avec les postes occupés. La valeur d'un combattant (Comment l'évaluer concrètement ?) repose sur beaucoup de paramètres, en commençant par les "aptitudes" nécessaires au combat... Un véritable défi pour un armée professionnalisée et une gageure sociétale pour une conscription choisie, ou pas...!
Globalement, c'est une bonne revue, y compris pour sa partie historique qu'il ne faut pas négliger.
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RépondreSupprimerLa (Les) cause(s) de l'échec de la contre-offensive ukrainienne(s) est (sont) simple(s) :
RépondreSupprimerManque de chars lourds modernes en nombre suffisant (Ce n'est pas une centaine mais un millier, à minima, pour penser avoir une réelle chance de percer ces multiples lignes fortifiées (Cinq, sept, voire plus encore lignes successives. les ukrainiens n'en ont percé qu'une seule et sur quelques kilomètres seulement.).), et autres blindés, lourds (Génie, etc.).
Manque de munitions, manque de... Etcetera.
Mais pas forcément manque de soldats à l'époque ; ni manque de courage.
Ce n'est pas non plus une question de formation, d'aguerrissement, ou même de commandement, ni de détermination encore une fois (...), après plus d'une année de guerre à l'époque.
Ils en avaient fait la parfaite démonstration en septembre 2022 dans la contre-attaque du sud de Kharkiv (Mais il n'y avait pas autant de lignes fortifiées à franchir à cette époque là ; et ils devaient leur rester encore un nombre de blindés suffisant.).
Les mêmes causes qui sont en train de produire les mêmes effets d'ailleurs...
On ne parle même plus du tout de livraison de chars ! ...
Que des paroles verbales et de grandes déclarations, à l'emporte pièce en plus, qui seront encore absolument non suivies d'effet, ou si peu...
"On" est juste en train d'ajouter le ridicule, au déshonneur...
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