Pages

mardi 21 novembre 2023

48 NORA B52NG SERBES POUR UN CLIENT INCONNU

Le président serbe Aleksandar Vucic a déclaré au cours d'un entretien que son pays était sur le point de fournir 48 obusiers de 155mm Nora B52NG à "un pays ami qui n'est pas en guerre" excluant de facto la livraison de ces engins à l'Ukraine. Le Nora produit par Yugoimport a été présenté pour la première fois au cours de la dernière édition du salon international de défense qui s'est tenue à Belgrade du 25 au 28 septembre dernier. Le Nora B52NG se distingue de la version précédente par l'adoption d'un châssis MAN et une automatisation complète du module de tir qui est commandé depuis la cabine du porteur. Doté d'un tube de 52 calibres, l'obusier serbe peut tirer à des portées maximales allant de 32,5 à 52 km en fonction du projectile choisi à une cadence maximum de 4 coups par minute. Il est également doté de la capacité MRSI (Multiple Round Simultaneous Impact) lui permettant de tirer trois obus à une distance de 30 kilomètres. Le chargement automatique est alimenté par 30 obus auxquels s'ajoutent six autres stockés dans le véhicule. Enfin le NORA B52NG est équipé d'une centrale inertielle, doublé d'un système de positionnement satellitaire pouvant recevoir des signaux des constellations GPS, GLONASS et GALILEO. L'engin est servi par un équipage de quatre hommes positionnés dans la cabine du porteur. 

Selon certaines sources, les 48 obusiers évoqués par le président serbe seraient destinés à l'Algérie qui aurait décidé d'acquérir cet équipement depuis deux ans.

30 commentaires:

  1. 34 tonnes au garrot, quand même...
    La piste de l'algérie est confirmée :

    https://www.menadefense.net/algerie/48-nora-b52-ng-pour-lalgerie/

    RépondreSupprimer
  2. Il a surtout comme avantage que son équipage peut servir sous protection et sans s'exposer inutilement.
    Plus une bonne cadence de tir et d'emport de coups (36) (Pas besoin de remorque !!).

    RépondreSupprimer
  3. L'exposition aux tirs de contre-batterie de l'adversaire se font surtout avec les canons remorqués (50 % d'attrition en Ukraine !) ou sur des positions préparées pour les automoteurs. Dilution et camouflage restent la règle.
    Les canons "portés", comme les automoteurs, sont vulnérables pendant les trajets ou sur des positions de repos et de ravitaillement. Les drones sont une réalité et leurs armes embarquées efficaces. Rien n'est à l'abri face à une mauvaise tactique, une rencontre inopportune ou de portes et trappes ouvertes avec les munitions exposées "comme à la parade"...
    Être statique demeure un risque, à titre d'exemple un PC tactique bouge toutes les 4 heures en Ukraine !
    Il va s'en le dire que l'augmentation de la protection par du blindage a aussi ses limites en matière technique et d'emploi. L'automatisation des chargement et du tir permet de limiter l'équipages sans pour autant supprimer les hommes pour le service de l'arme ou sinon avec des contraintes. C'est un choix, tout comme le gabarit de l'engin en hauteur.

    La remorque c'était au temps de l'AMX-13..., ou bien elle pourrait servir dans un contexte sans contre-batterie ou menace. Les Ukrainiens ont adopté une tactique qui consiste à embarquer les munitions, qu'il faut préparer, au dernier moment, en amont de la mise en batterie.

    Beaucoup ne comprennent pas que le concept du Caesar répondait à remplacer les canons tractés et supprimer leurs défauts tactiques. Ce sont, dailleurs, les utilisateurs qui ont exprimé le besoin.
    Cela n'en fait pas un "automoteur classique" qui répond à d'autres sujétions et défauts, même si à l'emploi il peut s'en approcher grandement, voire le dépasser.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Beaucoup comprennent parfaitement le concept du Caesar... !!! Encore ! Quelle prétention...

      D'autres ne comprennent pas que le Caesar a été conçu pour la basse intensité ; et que dans ce genre de conflit il y a pas de front établi, ce qui laisse les servants débarqués à la merci de m'importe quel groupe de guérilla le plus banal possible pouvant surgir de nul part et tous moments.

      D'autre part, la mise et le retrait de batterie sont plus longs que sur un automoteur classique, quand chaque seconde compte pour échapper à le contre-batterie adverse.
      Plus encore quand la plupart des servants sont complètement exposés dehors.

      PS : La remorque faisait référence au sujet précédent, c'est tout (S'il faut tout expliquer !!!).

      Supprimer
    2. Il n'y a aucune prétention de ma part, l'expression vient des concepteurs du Caesar, eux-mêmes...

      Le Caesar à fait ses preuves dans de nombreux théâtres d'opérations différents. Là ou vous avez raison, la menace peut surgir de partout, comme les drones, et sutout là où on ne l'attend pas. Un convoi avec des porte-chars peut être attaqué, aussi.
      La manière de mettre en batterie et d'en sortir, ainsi que le nombre de tir ne sont pas les mêmes qu'avec un automoteur. Ce sont deux systèmes avec des usages différents. Toutefois, les carcasses d'automoteurs peuvent démontrer l'antithèse...
      Un automoteur permet de faire du traitement de zone et de la saturation sur des cibles différentes. Le canon porté est plus dans l'optique de faire du "sniping" avec une vitesse de mobilité supérieure. La tendance actuelle est un rapprochement des deux modes avec l'emport de munitions diverses. Mais le compromis serait-il plus efficace et mieux projetable ? Je n'en suis pas convaincu.

      La remorque m'a "forcé" à citer plaisamment l'AMX-13 des temps heureux. (humour). En plus rejeter une idée avec des a priori n'est pas raisonnable.

      Supprimer
    3. Le CAESAR n'a jamais été conçu pour la basse intensité, quelle blague. Il a été conçu pour remplacer les canons tractés. Pour le moment le CAESAR mange moins que ses équivalents chenillés, et mêmes les Russes abandonnent le concept du "tout chenillé" pour leur artillerie.

      Supprimer
    4. @Anonyme23 novembre 2023 à 17:34
      Il y a quelqu'un ici qui est dans son propre concept militaire. Tout ce qui est à roues ne peut être qu'un équipement inapte à la haute intensité selon lui, tout ce qui est chenillé ne peut être qu'adapté à la haute intensité.
      Ainsi un blindé à roues de 25 tonnes sera tout juste bon pour se protéger des cailloux lancés par des passants en Afrique, mais un chenillé de 10 tonnes lui il sera très adapté à la guerre de haute intensité.
      Pourtant si il y a quelques années, ce genre de discours pouvaient s'entendre, le conflit ukrainien qui est un conflit de haute intensité démontre qu'il est nécessaire de se remettre en question (mais les habitudes et la non volonté de se remettre en question est difficile).
      On le voit en Ukraine, un canon Caesar est bien plus apprécié et demandé qu'un canon fixe ou qu'un canon comme le 2S3. Même les russes semblent vouloir s'y mettre.
      C'est également une réalité pour les blindés, certains restent dans l'idée qu'il faut des véhicules ramassés en terme de hauteur, mais quand on voit que les combattants doivent s'assoir sur le toit à défaut d'avoir de la place à l'intérieur, bonjour la protection du blindage (c'est la fonction première d'un blindé, protéger les troupes embarqués). Les drones et autres se font une joie pour taper ces véhicules, les mines se font un malin plaisir à pulvériser ces blindés et leurs équipages qu'on prétend adapté à la haute intensité. Ils sont moins haut que d'autres blindés donc plus adapté? Faut vivre dans son temps, vous n'esquiverez pas un missile AC ou un drone en raison de quelques cm de plus ou de moins.
      De vieux BMP/BTR/MT_LB ont un blindage très faible, ils ne sont pas plus adaptés à un conflit de haute intensité qu'un MRAP (ou assimilé) qui encaissera bien mieux différents éléments qui ne sont pas et n'ont jamais été une spécificité de la basse intensité. Avoir un blindé capable de mieux encaisser des roquettes, des mines ou des tirs n'est pas inadapté à la haute intensité, bien au contraire.

      Qui peut le plus peut le moins, l'erreur d'analyse de beaucoup sur ce qu'est la haute et le basse intensité en est la faute. Quand on s'est mis dans la tête que dans la basse intensité, on a un ennemi "faible" et de moindre importance sans gros moyens, pas étonnant qu'on va croire qu'un véhicule optimisé pour un tel conflit ne pourra pas faire "plus". Pourtant c'est bien tout l'inverse qui se produit. Ce sont bien les véhicules conçus pour la haute intensité qui ont prouvés des limites et des vulnérabilités dans des conflits de basse intensité (ou asymétriques), pas l'inverse. Ce sont ces faiblesses et manques qui ont amenés à vouloir des véhicules capables de résister aux mines, à avoir des grilles contre les RPG, à avoir des tourelles téléopérées, des protections actives.
      Comme je l'ai indiqué plus haut, si on serait dans une logique de qui peut le plus peut le moins, alors les véhicules qu'on définit comme adapté à la haute intensité aurait été largement suffisant pour mener un conflit de basse intensité, sauf que ce n'est pas le cas.
      Le conflit ukrainien montrera demain ce que tout le monde en aura retenu, en attendant on continue de voir 2 armées qui usent les vieilleries qu'elles ont en stocks ou qu'on leur donne, ça ne veut pas dire que ce qu'on voit c'est que que ces 2 armées ont besoin ou que ce soit adapté, faut le comprendre.

      Supprimer
    5. Ah tiens, vla Jésus, ou Polymère, même discours

      Supprimer
    6. La haute intensité nécessite plus de protection, et de blindage donc, c'est tout.
      Ah si, "accessoirement", des véhicules de combat tactique tous terrains donc
      (Certains n'arrivent toujours pas, ou ne veulent pas (Plus assurément.), comprendre la différence de mobilité entre roue et chenille, pourtant évidente, et si basique !).

      PS : La Caesar, bien qu'intéressant concept utile dans certaines configurations, a été conçu e pleine période de "la fin de l'histoire" et où certains croyaient qu'on allait plus faire que des opérations de type "maintien de la paix", aujourd'hui cette parenthèse est en train de se refermer.
      Et ce n'est pas par ce que les ukrainiens l'utilisent, ils sont bien obliger d'utiliser tout ce qu'on leur envoie, que c'est forcément l'équipement le plus adapté sur ce terrain et dans ce genre de conflit, de haute intensité.
      C'est un équipement "médian" (Inspiré du Dana.), c'est tout, comme le reste de nos forces (A part 200 Leclerc, complètement isolés...), qui peut servir de complément cependant..

      C'est le manque de "lourd" qui nous pénalise, ou nous pénaliserait, dans un tel conflit, de haute intensité. Cette très simple évidence a vraiment beaucoup de mal à imprimer chez certains !!

      Supprimer
    7. Non, avant-projet Caesar datent de la guerre froide, les Russes et d'autres pays de l'Est ont d'ailleurs été les premiers à développer des obusiers à roue. Rien à voir avec la basse intensité, ou le médian. L'Ukraine demande 1) des Caesar 2) des Boxer RC155, et pas des M109 ou des Krab...

      Supprimer
    8. L'Ukraine demande avant tout des chars lourds (Pas des AMX10RC, par exemple.), de l'artillerie lourde, mais tout est bon à prendre cependant (Même sur roues... Mais vu les terrains d'emploi...), surtout les munitions, des systèmes antiaériens et antimissiles, des VCI lourds, ou même moyens, etcetera (Pas juste des Caesar français, ou des Boxer (!).).

      L'avant avant projet du Caesar datant de la guerre froide : Source(s) ?
      Mais il est vrai qu'il est directement inspiré du DANA tchèque (Artillerie sur camion russe, et autres ? On les attend encore (Faudrait arrêter d'écrire n'importe quoi juste par opposition pavlovienne !!)).

      Supprimer
    9. Regardez les achats d'artillerie : des Boxer, des Caesar, des Pzh2000, soit toute la gamme de systèmes.

      Le CAESAR a été inventé à plusieurs endroits au même moment. On a eu des projets de 155mm sur AMX10RC, des TR1 sur TRM, de canon de 155mm sur un AMX13 à roues (Lohr en 1989), et le groupe Matenin avec un projet 155mm posé sur un disperseur de mines.

      Un topo sur les projets russes à roue, fort nombreux. https://redsamovar.com/2023/06/09/actu-le-2s43-malva-nest-pas-caesar-qui-veut/

      Supprimer
    10. A part, sur l'origine du Dana tchèque, et quelques études de prototype, votre lien ne dit rien de plus.
      On attend toujours vos sources sur "l'avant avant projet du Caesar datant de la guerre froide" par contre ! ...


      Par contre "n'est pas Caesar qui veut", il y en a un certains nombre aujourd'hui :
      https://www.militarytoday.com/artillery/top_10_truck_mounted_howitzers.htm
      On remarquera le classé numéro 4, par rapport au 7.

      Ce que vous n'arrivez pas à comprendre, ou ne voulez pas comprendre (!!), c'est que le Caesar et autres DANA prédécesseurs des systèmes d'artillerie monté sur camions sont un concept intéressant, mais qu'ils ne sont pas exactement comparables aux automoteurs d'artillerie à grandes cadences, capacités de tirs, et autonomie (Et capacités tout terrain...).

      Le pire dans toute cette histoire c'est surtout que le Caesar ait signé la mort de l'évolution de l'excellent AuF1 (Sans doute la meilleur pièce d'artillerie de son époque.), pourtant réellement envisagée celle là (Sur châssis Leclerc, par exemple.) et l'est sacrifié sur l'autel du grand dogme unique du tout roues (Un de plus...).

      Supprimer
    11. A part, sur l'origine du Dana tchèque, et quelques études de prototype, votre lien ne dit rien de plus.
      On attend toujours vos sources sur "l'avant avant projet du Caesar datant de la guerre froide" par contre ! ...


      Par contre "n'est pas Caesar qui veut", il y en a un certains nombre aujourd'hui :
      https://www.militarytoday.com/artillery/top_10_truck_mounted_howitzers.htm
      On remarquera le classé numéro 4, par rapport au 7.

      Ce que vous n'arrivez pas à comprendre, ou ne voulez pas comprendre (!!), c'est que le Caesar et autres DANA prédécesseurs des systèmes d'artillerie monté sur camions sont un concept intéressant, mais qu'ils ne sont pas exactement comparables aux automoteurs d'artillerie à grandes cadences, capacités de tirs, et autonomie (Et capacités tout terrain...).

      Le pire dans toute cette histoire c'est surtout que le Caesar ait signé la mort de l'évolution de l'excellent AuF1 (Sans doute la meilleur pièce d'artillerie de son époque.), pourtant réellement envisagée celle là (Sur châssis Leclerc, par exemple.) et l'est sacrifié sur l'autel du grand dogme unique du tout roues (Un de plus...).

      Supprimer
    12. A part, sur l'origine du Dana tchèque, et quelques études de prototype, votre lien ne dit rien de plus.
      On attend toujours vos sources sur "l'avant avant projet du Caesar datant de la guerre froide" par contre ! ...


      Par contre "n'est pas Caesar qui veut", il y en a un certains nombre aujourd'hui :
      https://www.militarytoday.com/artillery/top_10_truck_mounted_howitzers.htm
      On remarquera le classé numéro 4, par rapport au 7.

      Supprimer
    13. Ce que vous n'arrivez pas à comprendre, ou ne voulez pas comprendre (!!), c'est que le Caesar et autres DANA prédécesseurs des systèmes d'artillerie monté sur camions sont un concept intéressant, mais qu'ils ne sont pas exactement comparables aux automoteurs d'artillerie à grandes cadences, capacités de tirs, et autonomie (Et capacités tout terrain...).

      Le pire dans toute cette histoire c'est surtout que le Caesar ait signé la mort de l'évolution de l'excellent AuF1 (Sans doute la meilleur pièce d'artillerie de son époque.), pourtant réellement envisagée celle là (Sur châssis Leclerc, par exemple.) et l'est sacrifié sur l'autel du grand dogme unique du tout roues (Un de plus...).

      Supprimer
    14. Il y avait (Il y a toujours d'ailleurs) largement la place pour les deux, le Caesar pour nos deux brigades médianes, et un automoteur évolution naturelle de l'AuF1 pour nos brigades blindées lourdes ; en autant de quantités que le Caesar (77) (Avec un canon commun, en plus.) :
      Cela nous aurait permit d'équiper réellement, "convenablement", deux autres brigades (A raison de deux régiments d'artillerie, de 24 pièces, par brigade, plus le reste dans les organismes techniques et autres unités de formation, volant minimal de réserve.)...

      Supprimer
    15. "A raison" d'UN régiment, de 24 pièces, par brigade. Soit deux au total, plus "le reste".

      Supprimer
    16. Vous avez du mal a resté concentré sur une seule chose à la fois. Militarytoday n'est pas une source.

      Tout est raconté là-dedans.
      http://www.milinfo.org/2019/12/raids-hors-serie-n-073.les-projets-secrets-des-blindes-francais.html

      Si vous aviez lu l'article de Red Samovar vous sauriez que ces systèmes sont identiques à leurs équivalents à chenille. Le châssis n'a rien à voir avec les performances autres que la mobilité tactique et opérative. Dans la pensée russe ils sont destinés aux brigades d'artillerie en soutien des divisions.

      Supprimer
    17. Il n'y a rien sur un avant projet du Caesar, dans votre "source" raids, à part une vague proposition d'un équipementier.
      Par contre, il avait bien un projet de "Futur Système d'Artillerie" chenillé à canon de 155 mm L52.
      Comme il avait bien un projet AuF2 programmé même pour le coup.
      Mais tout cela a été torpillé par vos délires de tout roue unique.

      Plus d'emport, à poids égal, plus de résistance, plus de durabilité, plus de protection, plus de blindage, plus de rapidité de mise et de retrait en batterie, ou il y a bien "quelques" avantages au châssis d'artillerie ici, sur chenille, en plus de la mobilité tous terrains "évidemment...

      Supprimer
    18. Autant de mauvaise foi, c'est de la stupidité crasse. Contentez vous de militarytoday et wikipedia, ça vous évitera une syncope.

      Supprimer
    19. "Bons" arguments finalement encore. On vous demandait une seule source...
      Contentez vous de troller (Vous y êtes aussi mauvais.) ; n'essayez même pas de débattre, vous n'avez pas le niveau, ni la correction, nécessaires.

      Supprimer
    20. Les sources sont données, les connaissances aussi, vous n'avez ni l'un ni l'autre, les gens sauront faire la différence. C'est pitoyable.

      Supprimer
    21. On va refaire simple parce que vous avez visiblement du mal à rester concentré : les obusiers à roue sont conçus pour la haute intensité, les projets français et russes en ce sens datent de la guerre froide, leurs performances en tir sont équivalentes à leurs homologues à roues (c'est fou de devoir préciser ce genre de chose).

      Quand on est incapable de répondre aux arguments, on élargit et on parle d'AUF2, de 24 obusiers par régiments, bref, de n'importe quoi pour détourner l'attention du fait que vous n'avez pas de sources, pas de connaissances, et que vous ne savez pas débattre.

      Supprimer
    22. " avant-projet Caesar datent de la guerre froide " : Source(s) ? ...

      Supprimer
    23. Vous ne précisez par ailleurs rien du doute, c'est déjà dit auparavant.
      Mais restez dans vos certitudes, "les canons sur camions sont fait pour de la haute intensité", si ça vous faite plaisir.

      Qu'est ce qu'il ne faut pas lire parfois, certains doivent trop regarder nos experts de plateaux tv sans doute (Qui dans la même veine prennent l'AMX10RC pour un char par exemple.) .

      Supprimer
    24. @ Anonyme25 novembre 2023 à 11:46
      Ah tiens, vla Jésus, ou Polymère, même discours :
      Même troll...

      Supprimer
    25. Je me demande à qui faire confiance, les ingénieurs qui travaillent sur ces projets ou un gougnafier qui utilise militarytoday comme source? Histoire du CAESAR racontée dans RAIDS, point barre.

      Supprimer
  4. Apparemment le client est l Algérie.

    RépondreSupprimer
  5. Pour info :

    https://meta-defense.fr/2023/11/26/caesar-poche-davdiivka-raid-dartillerie/

    https://www.forbes.com/sites/davidaxe/2023/10/30/in-avdiivka-ukrainian-caesar-howitzers-shoot-and-scoot-to-foil-russian-assaults/?sh=60100bc54aa2

    RépondreSupprimer