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lundi 6 février 2023

PAS DE LEOPARD 2 GRECS DANS LA COALITION DU LEOPARD

Comme on pouvait s'y attendre la Grèce a exprimé ces derniers jours, par la voix de son premier Ministre son souhait de ne pas fournir de chars à la "coalition du Leopard" en cours de constitution. Pour justifier sa décision, Kyriakos Mitsotakis a indiqué que son pays avait déjà fourni de l'aide militaire à l'Ukraine y compris de véhicules blindés transport de troupes et que les chars Leopard 2 étaient indispensables à la posture de défense grecque. Il a réaffirmé la volonté d'Athènes de soutenir l'Ukraine qui ne doit cependant pas se faire aux dépens des capacités de défense du pays. Concernant les tensions persistantes avec la Turquie, Kyriakos Mitsotakis a indiqué qu'elles étaient liées aux élections présidentielles et législatives devant se tenir en Turquie au printemps, avant d'ajouter qu'il ne craignait pas un possible conflit. En dépit de cette sérénité, la Grèce préfère conserver ses chars, privant la coalition du Leopard des ressources du plus important utilisateur du char allemand en Europe.

30 commentaires:

  1. Le discours s'entend. Ils ne vont pas donner des chars pour en acheter d'autres, avec un conflit potentiel en perspective. La sérénité ça se prépare.
    Surtout pour s'entendre dire qu'ils sont surendettés... :)

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  2. Si seulement notre président était aussi clairvoyant, il déshabille l'armée de terre, qui est déjà à l'os au niveau des équipement donnés (artillerie sol-sol, et sol-air), sans parler des munitions et des missiles AC, et des restriction en carburant.

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  3. Sauf que notre situation est totalement différente car nous n'avons pas d'ennemi proche.
    Les grecs sont dans la confrontation permanente avec les turcs qui se montrent de plus en plus agressifs !

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    1. Sauf, qu'appart, quelques interventions en Afrique (d'où l'ont se fait jeter), l'armée de terre serait incapable de défendre le pays dans un conflit de moyenne où haute intensité, faute de moyens, de munitions et autres manques.
      Même la Suisse, et largement mieux armée que nous.

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    2. N’importe quoi.

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    3. Tout à fait factuellement, numériquement ET qualitativement, exact :
      Même la Suisse à une armée de terre, et d'intervention, mieux armée que nous, malheureusement.
      Huit millions d'habitants et un budget militaire total (la conscription, en plus.) de seulement 5 milliards d'euros, et pourtant ils en font des choses avec aussi peu (celui de noter armée de terre, seule, est plus du double, presque le triple à lui tout seul, et pourtant !).
      Et ce n'est pas prêt de s'arranger, encore plus malheureusement et malgré les évènements actuels... !!! ??? Cela n'en prend, absolument, pas le chemin.

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    4. Je crois l'avoir déjà écrit, quoiqu'il arrive nous n'avons pas les moyens d'une guerre de haute intensité pendant plus de 15 jours.
      Mais, nous avons le bonus dissuasif : l'arme nucléaire
      Tout ennemi qui s'aventurerait au delà de nos frontières serait vaporisé et, si je puis, dire, ça pourrait en refroidir plus d'un !
      Evidemment, il faut aussi que le "chef de l'Etat" qui est aussi le chef des armées ne tremble pas devant l'ennemi et là ... j'ai des doutes !

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    5. Le doute fait partie de la dissuasion nucléaire, tout comme le discours politique...

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    6. C'est une arme de dissuasion, c'est à dire de non emploi.
      C'est la doctrine française, depuis que la dissuasion existe, du faible au fort* ; et aucunement pour "vaporiser" un éventuel agresseur.
      * : Une dissuasion nucléaire qui a été décidée suite à l'affaire de Suez (ce Histoire.) et pour ne pas renouveler ce chantage, à la fois des soviétiques, que des américains pendant cet "incident".

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    7. Si "un ennemi s'aventurerait au delà de nos frontières" *, c'est que la dissuasion aurait échouée, et n'aurait donc presque plus aucun objet.

      * De là à prendre ensuite (à notre incurie, faute de préparation et d'anticipation), la décision de "vaporiser" un ennemi, il y a une marche et une responsabilité, devant l'histoire, et devant l'humanité, qui est loin de pouvoir être pris à la légère.

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    8. Non, il faut prendre le problème à l'envers
      C'est parce que nous avons la dissuasion nucléaire qu'aucun ennemi ne tentera de franchir nos frontières et dans ce cas nos armes conventionnelles ne servent pas à grand chose !
      Si la dissuasion n'a pas fonctionné c'est que le président aura déclaré, ce qu'il a fait d'ailleurs, que jamais nous n'utiliserions l'arme ultime !

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    9. Ah oui ? ! Aller dire cela au gars de daesh qui sont venu tuer des centaines de français en pleines rues de France, en toute impunité.
      Ou aux turcs qui se sont même permis le loisir d'illuminer comme un sapin de noël, un de nos navires assez récemment. S'ils avaient tiré, vous les auriez aussi "vaporiser" sans doute...

      Une belle ligne Maginot encore, tout autant, voire encore plus largement contournable, car sans plus grand chose derrière, ou devant.
      Le tout ou rien quoi. L'apocalypse nucléaire... Ou rien.
      Mais bon, ça fait bien, ça fait "gaullien", sans rien y comprendre par ailleurs à ce positionnement (OTAN et soumission en plus !!!).

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    10. Vous confondez, à dessein sans doute, terrorisme et guerre conventionnelle.
      Notre armée ne nous a aucun moment protégé des attaques terroristes parce qu'il ne s'agit pas d'une guerre et que notre action pour bloquer de telles actions relève seulement du renseignement et de la police.
      Lors d'une manoeuvre devenue fameuse, un mirage grec a réussi à illuminer un F16 turc qui avait violé l'espace aérien grec ... il n'a pas tiré pour autant ...

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    11. Je ne confond rien du tout, comment croyez vous que daesh a été défait ? !!!
      Eh oui, heureusement, que les grecs n'ont pas tiré, sinon les turcs auraient été obligé de "vaporiser" la Grèce, s'ils avaient eu la bombe nucléaire, selon votre propre théorie.

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    12. L'Etat islamique a été défait grace à l'armée française ?
      Première nouvelle, vous devriez partager vos informations !
      La Turquie n'a pas l'arme nucléaire, cela vous va probablement échappé !
      Je vous rappelle que la question était : réponse française au franchissement des frontières françaises par une armée étrangère !
      Vous vous égarez...

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    13. @Philos, vous, ce qui vous échappe, c'est tout ce qui a été écrit ci dessus (relisez au moins... : Non, daesh n'a pas été défait par l'armée française, justement (un grand merci aux kurdes !!!!) c'est bien ce que je voulais dire (s'il faut vous faire de l'explication de texte en plus !), ni n'a été "dissuadé" de venir faire des attentats sur notre sol. Non, la Turquie n'a pas d'armé nucléaire : deuxième fois : lisez mieux.)), cela y compris le concept même de dissuasion nucléaire, qui vous échappe complètement du coup.
      Dissuasion nucléaire, qui ne consiste pas à vaporiser le premier agresseur venu !! Mais à dissuader les autres possesseurs de l'arme nucléaire, et uniquement eux, de faire pression sur nous et de nous empêcher d'agir (Encore faudrait-il avoir encore une vraie politique étrangère indépendante, mais c'est un autre très vaste débat.).

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    14. "Dissuasion nucléaire, qui ne consiste pas à vaporiser le premier agresseur venu !! Mais à dissuader les autres possesseurs de l'arme nucléaire, et uniquement eux"
      Absolument pas !
      Vous avez une conception restrictive de l'emploi de l'arme nucléaire en parfaite contradiction avec la doctrine française.
      https://www.vie-publique.fr/parole-dexpert/285856-la-politique-de-dissuasion-nucleaire-francaise-defense-budget

      Sous François Mitterrand, la doctrine fut consolidée autour de trois notions clés :

      la dissuasion nucléaire ne protège que les intérêts vitaux du pays. La définition de ces derniers comporte une part de flou et est laissée à l'appréciation du président de la République, mais on considère généralement que le territoire, la population et la souveraineté de la France en constituent le cœur. La dissuasion serait susceptible de jouer quels que soient les moyens employés par l'adversaire – autrement dit, la force nucléaire n'est pas seulement destinée à empêcher une attaque nucléaire ;
      au cas où un adversaire se méprendrait sur la définition de ces intérêts vitaux, ou semblerait s'approcher du "seuil" de ces intérêts, la France se réserve la possibilité de délivrer un ultime avertissement, c'est-à-dire une frappe unique (au moyen d'une ou plusieurs armes), sans doute sur un objectif militaire, destinée à convaincre l'adversaire de cesser son agression et ainsi à "rétablir la dissuasion" ;
      à titre de garantie ultime, la force de dissuasion doit pouvoir exercer des dommages inacceptables sur le territoire adverse supérieurs à ce que serait l'enjeu du conflit, et ce en toutes circonstances, c'est-à-dire même après une "première frappe" nucléaire adverse sur le sol français.

      Cela veut dire que si la Suisse (je blague) nous attaque et qu'elle est en train de gagner la guerre en nous envahissant, la France revendique le droit d'utiliser ses armes nucléaires pour se défendre.
      Cela explique en grande partie la réduction du format de l'armée française à un format d'armée d'intervention (notamment en Afrique).
      Le but est de sanctuariser le territoire national qqsoit l'agresseur et la forme de l'agression ; étant entendu qu'on ne va quand même pas balancer des bombes n'importe où et à tout propos !

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    15. En fait c'est dissuasion que vous ne comprenez pas.
      Ce que rappel le dernier livre blanc en la matière : "Elle (la dissuasion) doit servir à défendre les intérêts vitaux, mais elle est employée à titre strictement défensif et dissuasif".
      C'est une arme de non emploi.
      Même si il y a pu avoir certains errements sous Mitterrand en effet.
      Ce n'est pas la doctrine défini sous De gaulle.

      Depuis les différents présidents y sont aller de leur petite interprétation personnelle (l'actuel ayant décidé qu'elle s'appliquait à toute l'UE !!!... Nos intérêts vitaux soi-disant...).
      Mais en pratique cela ne change rien : On ne va pas vaporiser la Suisse !!! Pas plus que quiconque. Même si ils décidaient de nous envahir : Justement ils en ont (les suisses.) les moyens terrestres.
      Imaginons encore la probabilité, qu'un Etats, du pourtour de la Méditerranée, ou même un peu plus loin, décide de nous envoyer ne serait ce qu'un seul missile balistique de portée intermédiaire, même classique, sur une de nos grandes villes (en une sorte de 11 septembre français.) : On vaporise ?

      Et c'est bien cela le problème, c'est que faute de forces conventionnelles crédibles et à cause d'un déséquilibre toujours plus grand (Entretenu par ce genre de mythologie, la France est proportionnellement le pays qui dépense le plus dans la dissuasion nucléaire, plus que quiconque.), on n'a plus rien derrière, et comme seul choix entre l'apocalypse (et la honte mondiale historique qui va avec.), ou rien (et la honte qui va avec.).

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    16. Je vous ai donné la doctrine officielle de la France et j'ai même poussé la complaisance à vous donner le lien du site officiel.
      Vous m'expliquez que ce n'est pas la bonne ...
      A mon avis, il ne vous reste plus qu'à contacter directement l'Elysée pour leur expliquer tout ça !
      Lien : https://www.elysee.fr/ecrire-au-president-de-la-republique/

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    17. Je vous renvoie une nouvelle fois la pareille, allez dont leur expliquer que votre interprétation de la doctrine de la dissuasion est de vaporiser tout agresseur.
      Encore une fois, vous confondez force de dissuasion, nucléaire et force de frappe nucléaire.

      PS : Apparemment vous avez déjà le lien...

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    18. Mais c'est vrai, qu'à votre décharge c'est une petite musique, et une interprétation spécieuse et outrancière de la dissuasion, que l'on entends de plus en plus ces derniers temps ; pour essayer de masquer de de dissimuler notre impéritie en matière de forces de défense conventionnelle, probablement, et sans aucun doute plus surement. Tout le vrai débat est là.

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    19. La bonne nouvelle pour revenir au sujet et à la Grèce, c'est qu'avec votre, interprétation de la doctrine de la dissuasion française, et vu que notre président actuel a étendu cette protection à toute l'UE, déclarée selon ce dernier comme "nos intérêts vitaux", si les turcs attaquent la Grèce, ils vont être vaporisés 😧


      Bon "en même temps", il ne faudrait pas que les grecs se fassent aucune illusion et s'attendent à ce qu'on viennent les aider d'une toute autre manière possible, vu l'état du reste de nos armées justement...
      (UE, ou pas... Et ce n'est pas les américains non plus qui viendront cette fois ci condamner leur principal allié (turc) dans l'OTAN et dans la région.))...

      Il faut mieux que les grecs gardent leurs chars en effet.
      Eux, personne ne viendra les aider (Même pas Macron et sa bombe n'y feront rien.).

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  4. Tiens, encore un pays qui n'a pas de "profondeur stratégique" comme dirait certains, et qui est surtout conscient qu'il a besoin de sa défense nationale !!

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  5. Observer les cartes, étudier l'histoire des deux pays tout en appréhendant les enjeux futurs, dont les ressources gazières, avec les forces en présence donnent un aperçu du sujet.
    Tout est en place pour un incident éventuel ou un conflit !
    Bien sûr, les politiques intérieures des protagonistes, le contexte général et les alliances feront le reste, ou pas...
    L'UE acceptera-t-elle une agression d'un de ses membres et quid de l'OTAN ? Je n'ai pas de certitute.
    Pour l'emploi des blindés, le terrain, les approches et le nombre considérable d'îles ne simplifieront pas la manoeuvre en fonction du but à atteindre.

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    1. c'est un antagonisme qui dure depuis des siècles, si ce n'est des millénaires.
      En cas d'agression par la Turquie (sur les iles grecque par exemple, comme pour Chypres.), l'UE se couchera : L'OTAN, les américains, ont choisi entre le verrou sud de la Russie qu'est la Turquie, et quelques intérêts et l'intégrité de la Grèce ("pour quelques iles" par exemple, et la ZEE qui va avec...), leur choix n'a jamais dévié depuis 1945.
      L'Europe, en tant qu'entité politique, n'existe pas, et n'a jamais existée ; et avec les derniers évènements actuels, ce n'est pas prêt d'arriver avant plusieurs décennies encore...

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    2. Tout ce que vous dites est vrai, mais à cela il faut désormais rajouter le gaz de Méditerranée orientale et les énormes enjeux financiers des éoliennes offshore :
      https://theatrum-belli.com/leolien-offshore-un-defi-pour-la-securite-et-la-surete-maritimes/

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    3. L'enjeu principal pour les grecs est d'éviter un débarquement des troupes turques dans les iles, en maitrisant les approches maritimes et aériennes. objectif quasi impossible a tenir pour certaines îles très proches de la Turquie.la Grèce et la Turquie partagent également près de 260 kms de frontière terrestre, qui peuvent justifier une dotation en chars lourds. Comme toujours le principe de dissuasion est avec peu de doute le plus efficace :Si tu m'attaques je vais te faire très mal. Donc une aviation et une sous marinade fortes, des missiles longue portée, aéroportés ou sur plateforme navale, et suffisamment de chars lourds pour barrer le passage de la plaine de l Evros.

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  6. Il n'y a pas de Léopards turcs non plus...

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  7. La Grèce ne craint pas un conflit? Tant mieux, ils perdront et personne ne viendra à leur secours.
    Les Grecs ont besoin de MBT? Pour les débarquer en Thrace ou dans les îles, en combat urbain? Belle doctrine pour l'utilisation de MBT.

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  8. Ajouter a l'analyse que les grecs comme les russes sont majoritairement orthodoxes et , peut être pour cette raison, ne condamnent pas massivement l'invasion de l Ukraine par les Russes.

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