Après le 22 février 2022, plusieurs pays européens ont choisi de muscler leur composante blindée mécanisée en lançant des programmes (souvent ambitieux) de modernisation ou d'acquisition d'engins blindés, parmi lesquels l'achat de chars modernes figure en bonne place dans les différents processus en cours ou à venir. Cet engouement pour la "chose blindée" étant basée sur l'observation du conflit ukrainien et de la place tenue par les différents engins dans les opérations. Loin d'une Europe confrontée au retour de la guerre de haute intensité, un autre pays a également fait le choix de muscler sa composante blindée pour répondre aux menaces actuelles et futures.
On a appris aujourd'hui que les Forces de Défense Israéliennes (FDI) avaient décidé d'augmenter le nombre de compagnies de chars dans chaque bataillon du Corps blindé. Cette décision semble être le résultat direct des enseignements tirés des opérations menées par Tsahal, depuis six mois dans la Bande de Gaza. Cette décision qui vise à augmenter le nombre d'unités blindées annule une décision prise il y a plus de dix ans, qui visait à réduire le nombre de chars dans l'armée israélienne. L'observation des engagements dans la bande de Gaza a confirmé l'utilité des chars dans la conduite des opérations en milieu urbain, au sein duquel les destructions contribuent à entraver l'action des engins. Les zones ouvertes hors des localités ont également permis aux chars de tirer le meilleur parti de leurs capacités de jour comme de nuit, comme ce fut le cas lors des premières incursions de Tsahal au mois d'octobre dernier.
Selon le Cne AMITAI, commandant une compagnie de chars au sein du 82ème Bataillon blindé "Gaash" appartenant à la 7ème Brigade blindée "Saar me-Golan", les véhicules blindés ont joué un rôle essentiel dans le conflit. Engagée aux côtés de la 188ème Brigade blindée "Barak" et de la 401ème Brigade blindée " Ikvot HaBarzel" dans la Bande de Gaza, la 7ème Brigade blindée a été engagée le long du littoral afin de contrôler les accès sud et centre de la ville de Gaza, en vue de l'isoler. Pour l'officier israélien, les chars ont permis de protéger et de fournir des feux aux fantassins et sapeurs engagés en zone urbaine, tout en offrant une capacité de déplacement rapide en tout terrain. A la tête d'une compagnie de Merkava IV, le Cne AMITAI a évidemment souligné le rôle essentiel du système de protection active Trophy dans l'engagement des chars à Gaza, permettant de décupler l'efficacité des engins et de renforcer la confiance des équipages. Pour illustrer l'efficacité du Trophy, l'officier israélien évoque une embuscade au cours de laquelle le char du commandant de bataillon a été ciblé par deux missiles antichars, interceptés par le système de protection israélien, tout en permettant au char poursuivre son action.
Jonathan SPYER, chercheur à l'Institut de stratégie et de sécurité de Jérusalem indique que les forces blindées ont joué un rôle central et vital dans les combats à Gaza menés au sein de dispositifs interarmes et que la décision de recréer les compagnies dissoutes s'inscrit dans le cadre de l'augmentation du budget de la défense qui devrait suivre la guerre. Selon le chercheur, l'augmentation de la capacité blindée de Tsahal reflète l'idée selon laquelle les FDI doivent être équipées pour lutter contre des forces semi-régulières et régulières, perspective d'emploi qui qui crée des besoins différents et exige donc des moyens également différents de ceux liés aux opérations de contre-terrorisme ou de contre-insurrection.
Cette augmentation de potentiel blindé, qui se traduit par la réactivation de compagnies de chars consiste à transformer la troisième compagnie de chars des bataillons blindés. Armée jusqu'à présent par des réservistes, cette unité devrait donc devenir une unité d'active, donnant aux bataillons une véritable troisième unité, dont les réservistes disponibles pourraient être engagés dans d'autres missions. Selon les FDI, trois compagnies ont déjà été réactivées au sein du 82eme, 52eme et 71ème Bataillon blindé, appartenant respectivement à la 7ème, 401ème et 188ème brigade, les prochaines pourraient l'être d'ici la fin de l'année. Cette remontée en puissance est en outre permise par l'afflux de volontaires pour servir au sein des unités blindées, avec un accroissement de 30% du volume de recrues au sein des brigades de chars par rapport aux années passées. Cette vague pourrait constituer le plus grand volume de recrutement du Corps blindé pour les prochaines années. La transformation en unités d'active des unités de chars de réserve souligne l'objectif affiché par les FDI de ne pas compter sur les réservistes pour la mise en oeuvre de leurs blindés, dont plus de 300 000 furent rappelés au lendemain des attaques du 7 octobre. Selon le Times Of Israël, de nombreux réservistes ont manifesté leur volonté de ne pas rejoindre leur unité pour marquer leur opposition au projet de réforme du système judiciaire. En dépit de la signature par 6000 réservistes d'une déclaration affirmant leur engagement à servir le pays, il est probable que la décision de ne plus confier ces unités aux seuls réservistes, ne traduit pas uniquement le manque d'adaptation de l'armée israélienne à soutenir un conflit dans la durée, mais aussi la crainte de devoir composer avec d'éventuelles oppositions en cas de mobilisation massive. Avec ces nouvelles unités, Tsahal augmente donc sa capacité à occuper plus longtemps le terrain sans que cela ne se traduise par le rappel de réservistes supplémentaires ou par l'augmentation du nombre de chars en service. Au sein du 82ème bataillon blindé, la compagnie nouvellement créée sert sur des Merkava IV, à la différence des unités de réserve habituellement équipées de chars de versions plus anciennes, comme le Merkava III. Ce choix devrait donc se traduire par une plus grande homogénéité en matière de formation et d'entrainement, synonyme d'une efficacité accrue.
Même si elle constitue l'un des volets d'une probable stratégie de contournement destinée à prévenir les problèmes liés au rappel des réservistes, la nouvelle organisation traduit surtout l'importance du char et des blindés dans la stratégie de Tsahal. Comme les pays européens concernés et à la différence de la France, l'armée israélienne reste convaincue de la polyvalence du char et de son utilité dans les différents conflits potentiels. Il est important de noter qu'au moment où plusieurs armées européennes se heurtent à des difficultés accrues de recrutement, Tsahal ne semble pas connaitre de problèmes pour armer ses unités blindées en raison de l'afflux de volontaires désireux de servir dans les chars. Cet afflux qui pourrait être également lié à l'attitude de certains réservistes est probablement motivé par le côté technologique des engins utilisés ainsi que par la protection offerte aux équipages blindés, qui peuvent se sentir moins exposés que leurs camarades fantassins ou sapeurs. Cette opération, qui ne se limite pas à une simple manipulation RH souligne également l'importance de disposer d'unités de réserve équipées et spécialisées. Dans ce domaine, l'armée française a probablement raté une occasion au moment du retrait des AMX 30B2, qui aurait pu s'accompagner de la création d'escadrons de réserve au sein des Régiments de chars. Servis par des équipages de réserve (anciens d'active ou réservistes) suivant de véritables cycles d'entrainement et de contrôle, ces unités auraient pu contribuer de façon significative aux missions des régiments de chars auxquelles elles auraient été rattachées. En outre, on peut imaginer que ces unités auraient très certainement favorisé le recrutement de réservistes, attirés par ce métier et accru le rayonnement des régiments de chars. Au moment où la spécialisation des brigades revient à l'ordre du jour avec la création d'écoles de milieu au sein de la 9ème BIMa (Brigade d'Infanterie de Marine) et de la 11ème BP (Brigade Parachutiste), la constitution d'une véritable réserve blindée pourrait contribuer à confirmer la spécificité des brigades blindées et à renforcer leur attractivité, à défaut de créer une école de milieu blindé mécanisé.
Merci pour votre suggestion d'avoir pu mettre sur pied des unités blindées de réserve. Dommage.
RépondreSupprimerA un moment , il y a plus de 25 ans, l'armée de terre avait envisagée une Brigade mécanisée de réserve équipée d'AMX 13 VTT. Une autre occasion manquée. On a préféré des unités spécialisées en mission sentinelle.
Petit espoir, on prévoit de former des EBR, escadron blindé de réserve sur VBL. Toujours sur roue.
"Plusieurs pays européens ont choisi de muscler leur composante blindée mécanisée",
RépondreSupprimersauf un...
La plupart des pays européens sont en train, de renforcer leur composante blindée mécanisée, déjà existante d'ailleurs ; et pas demi existante, blindée sans mécanisés !!!
A part les belges ?
Sauf deux donc (Avec les belges...)...
Les "décideurs" français se sont servis de l'exemple du Royaume-Uni pour leurs réformes structurelles concernant l'armée française. On en parle ?
Supprimerhttps://www.capital.fr/economie-politique/larmee-britannique-na-plus-que-40-chars-et-quelques-bateaux-prets-pour-une-guerre-1473644
Heureusement que l'on peut rire de l'état de l'armée allemande....
Il n'y a qu'une armée capable de faire la guerre pour les états européens de l'ouest: celle des États-Unis d'Amérique.
Ni l'armée du Royaume-Uni, ni celle de l'Allemagne ne me font rire.
SupprimerJ'y trouve trop de similitudes avec notre propre situation.
https://www.lopinion.fr/international/la-bureaucratie-le-boulet-de-larmee-allemande
Sans parler d'ennemis étatiques, le fait de perdre contre des barbus à mobylettes chinoises et à leurs exactions devraient nous faire revoir très vite notre outil militaire et surtout la DOT.
Car ils sont déjà en mode conquérants.
Pauvres armées occidentales actuelles, prises en étaux entre bureaucratie de plus en plus développée en effet, et lobbying industriel.
SupprimerIncapables même de fournir en munitions en nombre suffisant un pays moyen comme l'Ukraine à elles toutes, et au bouts de deux ans et demi de guerre.
Il y en effet beaucoup à s'interroger sur ce qu'elles sont devenues aujourd'hui.
Très intéressant commentaire mais il y a un point à préciser; les réservistes qui avaient refusé pour leurs périodes de réserve de rejoindre le corps des blindés lors des manifestations contre la réforme judiciaire ont tous été présents quand la guerre a commencé.
RépondreSupprimerSinon en effet, le nombre ça compte, aussi (Quel redécouverte cela doit être pour certains. encore faut il qu'ils soient capables de le voir, et de l'accepter plus encore.).
RépondreSupprimerVCI, lourds fortement blindé, sapeurs, et appuis, le trio classique de la guerre moderne en zones urbaine (Rien de nouveau, in fine...).
Autre rappel judicieux de "dans la vraie vie" et dans la vraie guerre guerre, un blindage est toujours utile même contre des forces asymétriques.
Pour le reste et pour les réserves, malheureusement quand on en est rendu à envisager à garder nos quelques 200 chars restant, sur 406 au départ, déjà, pendant plus de cinquante ans (Pour quoi faire exactement ?)... Comme certains prévoient déjà de garder le Leclerc jusqu'en 2045 2050 désormais ; "en attendant l'arlésienne" MGCS.
C'est tout un changement de paradigme, une révolution même vu les états d'esprits de certains et les blocages au combien puissants malheureusement, qu'il faudrait, très nécessairement cependant, opérer.
Ce que dix millions d'israéliens ont très bien compris, et réalisé, malgré des moyens globaux extrêmement plus comptés...
Une réserve minimale, de chars, et de tous leurs environnements indispensables, capable de combler d'éventuelles pertes, ce serait déjà pas mal.
Ou même encore plus simplement des dotations normales, en divers équipements, de nos unités...
C'est la production de Leclerc 2, et de tout ce qui va avec (Avec la conception et la production d'une famille compète de blindés, capables de haute intensité, et moins éventuellement.) qu'on devrait concevoir et produire actuellement, maintenant (En plus on a 413 milliards d'euros de budgets pour.), et sans tarder ni tergiverser le moins du monde, si on était à la hauteurs des évènements et des enjeux ACTUELS..
RépondreSupprimerEt ainsi on aurait même 200 Leclerc, en réserve.
Israël est un cas particulier avec une guerre asymétrique et son rapport de force qui le sont encore plus. Vouloir transposer ces événements dans le contexte du centre europe mériterait de nombreux filtres et analyses poussées.
RépondreSupprimerToutefois, le combat interarmes/interarmées infocentré est déjà une réalité impérative. Autant le dire, ils sont très en avance sur les concepts et techniques utiles. Tout comme l'Ukraine, nous avons beaucoup à en apprendre, sans forcément envisager un conflit de haute intensité comme inéluctable. Il y a bien d'autres formes de conflits...
Le réarmement des pays européens est une nécessité face à la montée en puissance de la Russie de Poutine. Encore faut-il avoir une politique globale de défense sans se cacher derrière l'OTAN et son article 5 (?) ou les dispositifs politiques de l'UE.
Tout ce qui peut s'armer entre nous et la Russie est une bonne chose pour notre propre défense.
La géographie étant ce qu'elle est, nos forces terrestre sont projetées actuellement en Roumanie et aux Pays Baltes dans le cadre de la réassurance et d'une forme de sanctuarisation. Les frasques de l'Afrique sont passés, pour le moment.
Revenir au stade de l'avant mur de Berlin demanderait bien d'autres choix et acceptations que l'acquisition de matériels blindés, fussent-ils indispensables. Intentions, moyens et temporalité seront-ils au rendez-vous ?
La LPM le permettra-t-elle ?
Rien n'est certain sans prédire l'avenir... y compris celui du conflit ukrainien.
Mais oui mais oui, Israël est un cas particulier, le Haut Karabach, est un cas particulier, la guerre en Ukraine est un cas particulier, les guerres contre daesh en Syrie et en Irak, et précédemment en 2003 et 1991, étaient des cas particuliers, etcetera Vous n'en avez pas marre de rabâcher vos poncifs déconnectés, hors réel ? !
SupprimerC'est tellement particulier dans le dernier cas ci dessus que tous les experts ne cessent désormais de dire que la plupart des conflits futurs, et actuels, se dérouleront dans l'urbain.
SupprimerMais sans doute n'ont-ils pas votre si haute hauteur de vue.
Le pire c'est que vos arguments sont complètement incohérents :
SupprimerVous nous dites ici que Israël est un cas particulier par ce qu'ils emploient un corps blindé mécanisé contre un ennemi asymétrique, mais que nous ne devrions pas avoir de tels corps blindés mécanisées en Europe, ou en tous cas en France, contre, ou pour dissuader plus précisément un adversaire avec des moyens autrement plus symétrique ???
PS : Dans vos incohérences vous aller même jusqu'à dire des choses très sensées ("avoir une politique globale de défense sans se cacher derrière l'OTAN et son article 5 (?) ou les dispositifs politiques de l'UE.") !
(Pour ensuite tout gâcher dans la phrase suivante rassurez vous.)
Pas de polémiques stériles avec "les" aigris habituels.
Supprimer"Le chien aboie et je mange le chien" (proverbe Chinois). :)
Eh oui, tapez en touche, et dénigrez vos interlocuteurs avec vos formules puériles, comme à votre habitude dés qu'on vous met des arguments auxquels vous ne savez absolument pas répondre (Et pour cause.).
SupprimerMoi pas parler à toi...
SupprimerCe qu'il ressort de tous ces conflits c'est la suprématie de la chenille sur les roues.
RépondreSupprimerN'en déplaise à certains, quand il faut engager les groupes de combat sur le terrain en mode hors route et dégommer le client d'en face, seul du Bradley ou du CV90 y arrivent.
Le Namer , bien que très performant n'a sa place qu'au moyen Orient du fait de son poids et de ses dimensions.
En France on n'a rien de comparable, et rien n'est prévu non plus.
Alors les discours de l'autre, ou les ambitions des autres...LOL
Tiens encore un qui parle d'évidences. un de plus parmi énormément d'autres.
SupprimerLa certitude pour vous, c'est quoi? faire des commentaires sans démonstration?
SupprimerEt vous ?
SupprimerC'est l'aveuglement de très mauvaise foi, vous ne voyez pas les très nombreuses pourtant démonstrations. Même quand elles viennent d'experts reconnus, comme Chassillian (Cf sujet précédent.) par exemple !
Et oui, excusez moi de vous le dire, il y a quelques intervenants ici qui ont un peu d'expérience de terrain ; et qui ne se contentent pas de venir troller.
Votre place est sur un autre forum, celui des "spécialistes " bien connu qui commence par un O.
SupprimerIl y a là-bas toute une communauté d'intervenants qui n'attendent qu'un expert comme vous pour vous humilier.
A bon entendeur...
Ah bon, encore un site où vous êtes fait humilié, et finalement viré.
SupprimerEn même temps pour un provocateur si agressif (Vous ne pouvez même pas vous retenir !!) comme vous, rien de très étonnant.
Vous vous décrivez à merveille...
SupprimerFin des palabres pour ma part, continuez vos critiques de débutant et n'oubliez pas d'acheter le dernier Picsou magazine.
SupprimerCombat virtuel d'anonymes, c'est sportif mais il faut suivre. :)
SupprimerIl est risqué de faire parler M Chassillian, qui est un expert dans le domaine de l'ingénierie, sans en avoir tout lu ou écouté...
Extraire une bribe de phrase ou de propos ne vaut pas argumentation ou preuve, c'est connu... mais contribue à la manipulation intellectuelle.
Là: ni LOL, ni glop, considérant les destructions matérielles et humaines où même un Bradley et un CV90 sont destructibles, comme tous les autres.
RépondreSupprimerJe n'en tire aucune conclusion ou certitude sur la suite du conflit.
Sans "la roue" il n'y aurait pas "la chenille" et réciproquement, au sens propre et figuré. Je n'irai pas plus loin dans cette opposition stérile qui relève de l'obsession binaire.
L'emploi des moyens détermine l'issu des combats avec leurs volumes sur la durée. De même, le char de bataille constitue un pion élémentaire dans le combat interarmes sans en être forcément l'élément déterminant partout et toujours.
Bien entendu, ne pas en avoir hypothèque l'articulation opérative terrestre en commençant par la manœuvre sous protection, en principe...
Un conflit est rarement linéaire et prévisible avant l'arrêt des combats ou agressions de toutes natures.
Pour exemple, sans préjuger de la suite. Le M1 n'est peut-être pas le meilleur char dans le contexte actuel surtout sans "l'environnement" de l'US-Army...
Supprimerhttps://www.opex360.com/2024/04/26/larmee-ukrainienne-a-retire-ses-chars-m1a1-abrams-de-la-ligne-de-front/
De l'artillerie et des munitions, vite !
Tiens encore toujours le même hors sol.
SupprimerVous ne voyez pas, non plus, que vous êtes un peu seul à essayer de continuer de propager vos théories fumeuses, ou "enfumeuses" plus spécifiquement ci dessus (Encore...), envers et contre tout, et envers le réel surtout ? !
Une histoire de terrain...
RépondreSupprimerhttps://korii.slate.fr/et-caetera/folle-operation-commando-ukrainien-recuperer-brouilleur-char-russe-lignes-ennemies-guerre-conflit
Une autre évolution:
RépondreSupprimerhttp://www.paxaquitania.fr/2024/04/eos-technologie-propulse-sa-munition.html?m=1
Et son anti adapté
RépondreSupprimerhttp://www.milinfo.org/a
Un vrai petit lobbyiste !!
RépondreSupprimerMême quand on en est à parler de "renforcement blindé", et de la neutralisation effective en cours, de vos joujoux.
Moi pas parler à un influenceur rébarbatif du blindé-mecanisé d'outre-tombe... :)
Supprimer"un influenceur rébarbatif du blindé-mecanisé d'outre-tombe...é (!!)
SupprimerVous parlez à beaucoup de monde (Ayant ce profil) sur ce blog. Faites un peu plus gaffe quand même à ce que vous écrivez.
Tu-tu-tu... ne prenez pas votre cas pour une généralité. Il y en a un et c'est bien suffisant pour la survie de l'espèce "on". :)
SupprimerIl y a le contexte, l'emploi, les moyens et les outils de décision où le blindé, fût-il renforcé, ne sera pas le nombril de la bataille...
RépondreSupprimerAvoir du char c'est bien, mettre un équipage compétent dedans c'est mieux et savoir diriger la manoeuvre c'est encore mieux:
https://www.opex360.com/2024/04/25/combat-terrestre-thales-va-diriger-un-projet-dedie-a-lanalyse-automatique-des-situations-tactiques/
Sinon, pour faire du combat statique la tranchée, les barbelés, les tanks improbables et la chair à canon suffiront...
Mais oui, mas oui, on a compris, "le tank improbable est mort"....
SupprimerDans sa version antérieure c'est probable, voire certain, mais les choses évoluent. Ce n'est pas comme vous..., sauf votre respect.
SupprimerPour le char improbable, avec sa structure pyramidale de toiture, il n'est pas mort mais à été récupéré, pour en définitive s'apercevoir qu'il ne servait à rien. CQFD, avec beaucoup de risques pour les hommes. C'est aussi cela la guerre... :(
Ça va hurler dans certaines chaumières.
RépondreSupprimerhttps://www.forcesoperations.com/le-luxembourg-pret-a-investir-2-mde-dans-des-vehicules-scorpion/