La rénovation du char Leclerc XLR que les discours officiels présentent comme le nec plus ultra de la chose blindée comprend l'intégration de plusieurs équipements parmi lesquels un tourelleau téléopéré, développé et produit par FN Herstal, un kit de protection (grilles anti RPG) contre les munitions antichars, ou encore un brouilleur Barrage développé par Thales. En dépit des nombreuses publications sur le sujet, les photos du XLR publiées depuis la mise en service des premiers exemplaires montrent des chars dépourvus des équipements précités. Cette disparition ne semble affecter que les chars utilisés par les Régiments, à l'inverse du char de la STAT (Section Technique de l'Armée de Terre) présenté en statique à l'occasion du 14 juillet et du XLR exposé sur le stand de KNDS France au dernier salon Eurosatory. On peut donc se demander où sont passés ces équipements sur les chars de série et quelle peut être la raison de leur absence ?
La première hypothèse envisageable serait celle de la restriction budgétaire qui aurait empêché d'équiper la totalité du parc de XLR des équipements prévus. On se rappelle qu'une mesure similaire a déjà impacté les Griffon, comme l'avait confirmé le Général Burkhard au cours d'une audition devant l'Assemblée Nationale en 2020, indiquant que le taux d'équipement en tourelleau Hornet des Griffon était de 75% jusqu'à 2025 et de 50% au-delà. Cette hypothèse pourrait être démentie par l'absence de déclaration "officielle" qui pourrait confirmer le choix de cette option.
La seconde hypothèse serait similaire à celle retenue par le Royaume-Uni pour le montage du système de protection active Trophy sur le Challenger 3. L'armée britannique a en effet décidé de pré-équiper les 148 chars prévus mais n'aurait commandé que 60 systèmes, laissant les 88 exemplaires restant dépourvus de protection active. Une telle pratique pourrait être donc avoir été adoptée pour la revalorisation des Leclerc au standard XLR avec un parc qui serait prédisposé à recevoir des équipements, dont le nombre serait inférieur à celui des chars revalorisés, dont la majorité se contenterait donc de kits de prédisposition ! Un tour de passe-passe technico-financier qui reviendrait à repousser aux calendes grecques la commande des équipements manquants et à priver la majorité des engins existants des systèmes prévus.
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XLR à Eurosatory (Photo KNDS) |
La troisième hypothèse (plus optimiste) consisterait à envisager que l'absence des équipements pourrait être le résultat de difficultés de production, entrainant un retard de livraison. Paradoxalement, cette hypothèse serait également préoccupante quand on sait que ce sont 18 chars qui sont revalorisés chaque année, car elle indiquerait que les industriels concernés ne peuvent fournir les équipements concernés dans les délais prévus. Cette perspective serait doublement inquiétante en économie de guerre, état dans lequel notre BITD est supposée se trouver depuis deux ans. Au delà de possibles difficultés d'approvisionnement,l'absence de commandes et de paiement par le MinArm pourraient également être à l'origine d'un éventuel retard de production. Le "dialogue" lancé la semaine dernière par le DGA avec les industriels pour la réduction de leurs marges pourrait singulièrement compliquer une donne déjà fort complexe.
XLR du 501eme RCC (Photo 501eme RCC)
Au-delà de la différence des causes, les hypothèses évoquées ci-dessus partagent une conséquence qui est de priver les équipages de toute possibilité de formation et d'entraînement à la mise en oeuvre des équipements concernés. La question de la formation des équipages, depuis longtemps reléguée aux oubliettes ferait donc une nouvelle fois les frais d'économies de bout de chandelle qui ont déjà priver nos équipages d'un obus flèche d'exercice ou d'heures de potentiel. Les conflits actuels nous montrent pourtant que les engagements de haute intensité imposent aux combattants un haut niveau de maitrise des savoir-faire techniques et tactiques, tant sur le plan individuel que collectif. Il est donc impératif de donner à nos équipages tous les moyens de s'entrainer avec l'ensemble des moyens prévus.
Premier tir peloton XLR (Photo 12ème RC)
Si une des hypothèses évoquées devait se révéler exacte, l'efficacité de la (trop) timide revalorisation du Leclerc, qui souffre déjà de l'absence de nombreux équipements pourtant jugés indispensables par plusieurs armées (système de protection active, caméras de surveillance périphérique, munitions polyvalentes,...) serait donc encore diminuée par la pénurie (organisée ?) affectant plusieurs des équipements prévus. La rénovation qui doit permettre au Leclerc de durer jusqu'à 2045 ou entre 2032 et 2035 (selon JP Alary) n'apporte qu'une solution très partielle aux problèmes de vieillissement du char, accentués par un sous-investissement chronique sur l'engin depuis sa mise en service. Il est donc capital que cette rénovation permette à l'ensemble des engins de bénéficier des améliorations envisagées et des équipements devant être intégrés.
De façon plus générale, il devient urgent de prendre au sérieux l'avenir de notre segment de décision, déjà menacé par des difficultés financières, l'absence de moyens interarmes adaptés et une revalorisation a minima du char, étalée sur plusieurs années. L'efficacité opérationnelle de ce segment passe certes par l'adoption de solutions techniques adaptées, mais aussi et surtout par la formation et l'entrainement des équipages. En les privant des équipements qu'ils sont pourtant susceptibles de mettre en oeuvre en situation, on empêche ces équipages de se familiariser et de s'entrainer à l'utilisation de ces systèmes. Au moment où les engagements de haute intensité nous montrent la nécessité pour les combattants impliqués de maitriser un grand nombre de savoir-faire techniques et tactiques, tant au niveau individuel que collectif, il serait dommageable de priver nos équipages de la possibilité d'acquérir cette maitrise, que ce soit pour des raisons financières, industrielles ou politiques.
ou bien soyons fous la France va acheter 200 léopards équipés d'une tourelle made in France en 140mm.
RépondreSupprimerLa triste réalité est que la cavalerie n'est pas dans les priorités de l'état major, il s'agit de garder les compétences et pour faire manœuvrer les chars il faut les connecter au système scorpion.
penandreff
Et le fait que ces kits alourdissent le véhicule inutilement en temps de paix non?
RépondreSupprimerIl y a une quatrième hypothèse : le fait de considérer certains équipements comme des kits, pas nécessairement montés pour l'entraînement "courant" pour soulager le char et éviter les casses prématurées. Bien sûr, elle là peut se cumuler avec les autres... Encore faut-il que le montage des dits kits soit d'un délai et risque raisonnables, et que les équipages soient entraînés à leur montage s'il est de leur ressort, et à leur usage, y compris sur les simulateurs.
RépondreSupprimer"Doucement, pas si vite"...
RépondreSupprimerhttps://youtube.com/shorts/ZXK5Id_pkxw?feature=shared
Théoriquement nous devrions avoir 160 Leclerc XL-R à la fin de la LPM (2030) pour équiper une Division opérationnelle de temps de paix, - SI -les budgets sont votés et respectés avec une BITD au rendez-vous des échéances. Le reste devra se terminer vers 2035 avec la problématique des obsolescences (?).
https://www.defense.gouv.fr/dga/actualites/dga-commande-100-chars-leclerc-renoves-xlr
Le turn-over de la "renovation" va être important puisque les décisions ne sont pas prises en même temps (vétronique) et restent évolutives, apparemment (remotorisation, APS, armement TADV...). Avant que tout soit monté et la série achevée, il faudra sérieusement songer à son successeur, y compris avec une nouvelle formule, pour répondre aux besoins des temps et un tuilage optimisé.
Pour un éventuel APS volumétrique, un cope cage local a été essayé. C'est déjà un premier pas... ^^
Avant on était au pied du mur, maintenant on est dans le mur.
Il faudra être patient, dans un premier temps, pour s'en extraire et comprendre ce qu'il fait là, dans un deuxième temps. Pour le troisième temps, je ne jure de rien tout en restant positivement optimiste pour 2040 et au-delà.
Eh oui, à force de foncer dans une impasse, fatalement on finit un jour ou l'autre dans un mur.
SupprimerEt le pire c'est qu'on continue à accélérer...
C'est assez logique qu'en temps normal les kits additionnels ne sont pas en permanence sur les engins.
RépondreSupprimerOn facilite la maintenance, on facilite la logistique, la mobilité et on préserve le potentiel global.
On n'est pas à la parade ni dans les salons d'expositions.
Pauvre Leclerc. Eternelle victime expiatoire des coupes budgétaires. Jusqu'au bout, on lui aura honteusement fait subir le pire, pour des économies de bout de chandelles. Dans un contexte où le budget des armées a pourtant sensiblement augmenté, nous n'avons donc pas réussi à trouver les moyens (ni la volonté...) pour installer le tourelleau, un brouilleur et des grilles anti-RPG sur la petite poignée de Leclerc rescapés, promis à la peu ambitieuse "modernisation" XLR. Lamentable. Pathétique, même...
RépondreSupprimerCela aurait pu à la rigueur se comprendre et se défendre, si on avait décidé de réserver les moyens financiers pour l'acquisition prochaine de son successeur. Mais il n'en est rien. Aucun projet à court terme, avec un MGCS qui a déjà un pied dans la tombe (il ne survivra pas au départ de notre Président...) et qui vise un horizon surréaliste à 2045/2050. Aucune perspective, aucune vision en matière de blindés lourds chenillés (malgré notre "économie de guerre" !!), on continue à bricoler.
Pour compléter votre hypothèse, je rajouterai à cela une discussion que j'avais eu avec le responsable du display XLR Satory de la STAT qui mentionnait ceci :
RépondreSupprimer"Le blindage AZUR qui rajoute environ + 5 tonnes au Leclerc sera un kit non-obligatoire qui dépendra de la demande des régiments (régiment offensif pas de kit | régiment défensif avec kit) de même que le RWS."
Il se pourrait donc dans l'exemple du 501e RCC que celle-ci ne juge pas utile la présence des blindages et grilles additionnelles.
À noter que le pivot central de la modernisation XLR sous Scorpion, c'est surtout la modernisation de l'interface de bord, de nouveaux systèmes embarqués et surtout, la capacité de communiquer dans un intranet mobile et modulable interarmées.
Ces fonctionnalités ne sont en effet pas trop visibles vu de l'extérieur !
Je propose que la tourelle du Leclerc, très lourde, soit ôtée du châssis de façon à faciliter la maintenance, la logistique. Elle sera mise en place en fonction des besoins liées aux circonstances. Cette formule permettra de surcroît de disposer d'un nombre de tourelles inférieur au nombre de châssis, ce qui permettra, ici en cire, de générer des économies.
SupprimerSecond degré bien entendu...
SupprimerLe nec plus ultra de la chose blindée (Quelle ironie !!) : L'ajout d'une mitrailleuse téléopérée et des bouts de blindages cage (Quelle "modernité" !!!)
RépondreSupprimerEst ce qu'on se moque vraiment du monde ou est ce simplement du mépris pour tout ce qui est blindé ? On n'ose envisager encore une méconnaissance qui serait devenue tellement crasse.
La pseudo modernisation actuelle, appelée comme ça en tous cas, concerne juste à la mise en place du système scorpion sur quelques chars, de plus en plus vieillissants car non rénovés en réalité.
Pour ce qui est de la supposée "économie de guerre", depuis deux ans, là aussi quelle farce !!! Il n'y a qu'en matière de défense, et qu'en France, qu'on capable de telle désinvolture, et de telles "plaisanteries" !!
Où on est même plus capable de poser deux cent tourelleaux !!!!
Ne parlons même pas de protection action, ce serait un véritable miracle dans les conditions (Dogmatiques. On en revient toujours au même au fond : Mêmes motifs de fond, mêmes conséquences) actuelles.
Quant à la question de la formation des équipages, Blablachars une fois encore le dit très bien : "Depuis longtemps reléguée aux oubliettes" ; elle n'en est manifestement pas prête d'en sortir...
Une revalorisation" du Leclerc qui souffre surtout d'une absence presque complète (C'est pas avec quelques morceaux de cage à poules.) de mise à niveau de sa protection.
(Avec un niveau de protection d'environ 600 mm d'équivalent d'acier RHA maximum sur l'arc avant, le Leclerc se situe au niveau des chars de cette époque, d'il y a trente ans déjà, c'est à dire des Léopard2 A4 et des Abrams M1A1, et autres Merkava2, loin en terme de protection des 1 000 mm aujourd'hui nécessaires pour espérer survivre à un tirs d'APDS de 120, ou de 125 mm actuel en l'occurrence ; ou à un tir de missile antichar moderne même.)
La question fondamentale, qui se pose surtout encore une fois est où va t-on comme cela ?!! Si on n'est même plus capable de "rénover", même pas à très minima (Une mitrailleuse...), quelques 160 ou 200 chars (D'ici 2035, sinon la charge de travail serait trop forte évidemment...).
Que compterait même 160 chars d'ancien modèles non mis à jour notamment en matière de protections, dans la guerre en Ukraine aujourd'hui, ou quand d'autres nations européenne à nos frontières sont en train de s'équiper de centaines de nouveaux chars ?
Comme le disait un magazine mensuel spécialisé, la France en matière de défense, est vraiment au bord de la rupture capacitaire en matière d'équipements militaires terrestres.
Pour ma part je pense même qu'ils sont déjà là depuis un moment, ce décrochage et cette rupture capacitaire (Car c'est bien d'une rupture totale à laquelle on est en train d'assister et d'accroitre même encore actuellement.), résultat de vingt-cinq ans de prise de positions s'il elles pouvaient encore se justifier il y a vingt-cinq ans, sont devenues aujourd'hui complétement dépassées. Le pire c'est juste qu'encore à l'heure actuelle on continue et on persiste à accentuer ce déficit (D'autant que les autres sont en train de se réarmer aujourd'hui comme jamais depuis trente ans eux.)
PS : Aujourd'hui c'est réellement d'un nouveau châssis dont on aurait besoin avec toutes les déclinaisons nécessaires à ce nouveau char moderne, nouvelle génération.
(D'autant que la tourelle on l'a déjà plus ou moins, même en 140 mmm. Et à commencer par un VCI au moins capable de l'accompagner, et de le protéger... Sinon gare à l'hécatombe encore.).
En matière de nouvelles "plateformes chenillées", il y a une ouverture avec la réunion de Nexter-France et Texelis :
RépondreSupprimer..."Le champ pourrait s’élargir à d’éventuelles nouvelles plateformes à chenilles, Texelis jouant désormais un rôle central dans la mobilité du robot lourd Vector RCV de l’estonien Milrem. Une première expérience de laquelle pourraient émerger des idées à proposer pour ce qui deviendrait l’ailier robotisé du char de combat de demain, à l’instar de ce qui est aujourd’hui planifié pour le programme franco-allemand MGCS"...
Sur un malentendu, la formule pourrait évoluer vers du plus beau, plus lourd et de l'habité. On peut rêver...
Dans l'immédiat nous en resterons au Leclerc XL-R Frâânnçais dans le volume de force actuel qui reste à renforcer et adapter aux besoins jusqu'en 2035... Aller au-delà demanderait quelques bouleversements économiques et sociétaux sur une durée de 10 à 15 ans, selon des connaisseurs du sujet.
"Le 501ème RCC se voit plus dans l'offensive", cette vision reste très optimiste même avec une manoeuvre restant possible. En cas de "manoeuvre défensive", il faudrait remonter fissa tout le bric-à-brac, y compris des cope cages pour survivre. Il en est de même pour respecter les gabarits des modes de transport. Bien sûr, tout cela est très théorique et dans l'hypothèse d'avoir un ennemi déclaré. Dans le contexte de "l'agression Ukrainienne et des provocations de l'OTAN européenne", il n'est pas question de déborder des frontières de cette dernière, même en pensée, Trump et poutine y veillent pour des motifs différents.
Un Leclerc à 63 tonnes avec tous ses éléments se rapproche pourtant doucement des "chars merveilleux de 70 tonnes" mais avec un dimensionnement moindre en longueur avec 6 galets.
Qui a raison, seule l'épreuve du feu trancherait sur les terrains particuliers du centre-europe. L'empreinte logistique avec la mobilité tactique et stratégique réclament de grands moyens avec ces matériels lourds. La résilience de l'ensemble reste dimensionnée par le maillon le plus faible.
Une indication toutefois, les Challenger ont été remisés par les Ukrainiens, la bête étant trop lourde. Toutefois, ils pratiquent le surblindage et l'encagement de leurs blindés moyens en propres ou importés, sans trop les exposer au contact direct.
Pendant ce temps, des trapanelles obsolètes et baladeuses mettent en émoi les pays de l'OTAN qui ne savent pas trop sur quel pied danser pour paraître sérieux et déterminés... Gesticulons, cela pourra toujours dissuader et faire illusion, en principe (?).
Toujours les mêmes fausses justifications (Eh oui, les "bouleversements économiques et sociétaux sur une durée de 10 à 15 ans", c'est bien ça qui nous arrêtent aujourd'hui.) !
SupprimerPour justifier l'injustifiable... C'est à dire notre, nos décrochages, multiples, actuels : "Et ils continuent à accélérer"...
Le coté le plus abouti en terme de revalo sur le XLR est sa magnifique peinture brune TDF...Tous nos ennemis en ont peur, bien plus que de sa motorisation et de sa protection.
RépondreSupprimerC'est vrai que cela fait peur, tout ça, tout cet immobilisme actuel, et tout ce décalage... !
Supprimerje suppose que certaines autorités étatiques sont en mesure d'expliquer de façon détaillée, les raisons réelles de cette forte et décevante disparité entre ce qui est montré aux publics pour le show, et ce qui est effectif au sein des unités utilisatrices. Pour y voir clair et se faire une opinion objective sur la situation, puis pour éventuellement imaginer des solutions, sans doute faudrait-il qu'une commission parlementaire appropriée, interpelle les instances qui sont à l'origine de cette éventuelle situation de carence. Je me demande si l'accent n'a pas été mis sur la validation des nouveaux moyens électroniques (invisibles extérieurement)., et les aptitudes à les mettre en oeuvre par les équipages . Les autres moyens de revalorisation du char, n' y étant ajoutés que si la première étape a bien été franchie.
RépondreSupprimerLa raison est qu'il y a un certainement un différent d'ordre financier entre la SIMMT et Nexter/KNDS.
SupprimerVu sur d'autres chantiers.
La cavalerie,l'artillerie ,sont les parents "pauvres" de l'Armée de Terre,car jamais défendues par les "grands" chefs ,tous issus de la légion,para ou colo (le dernier CEMA cavalier était le Gen. DE VILLIERS...!).L'équipement est prévu pour des troupes félines , manœuvrières et composées de chats maigres ...Mais dans des combats haute intensité qu'elle serait la durée de vie de la brigade FS et Para,d'ailleurs employées dans quelles conditions ?Alors sans matériel lourd la haute intensité reste un vœu pieux !
RépondreSupprimerEh oui, les chats sont bien maigres en tous cas aujourd'hui.
SupprimerPresque faméliques, si on regarde bien les moyens qui nous reste, camions de gendarmerie pour l'essentiel (200 chars vieillissant non rénovés, un centaine de pèces d'artillerie, promises, 300 manpad, et vous avez fait à peu près le tour, de ce qui reste aujourd'hui de l'armée de terre française.).
Blablachars oublie le remplacement des viseurs actuelS par des viseurs PASEO
RépondreSupprimerBernard ancien expérimentateur XL à la STAT