Alors qu'ils fêtent cette année, le cinquantième anniversaire de leur mise en service, les VBRG (Véhicules Blindés à Roues de la Gendarmerie) sont à nouveau sur le pont sur l'île de Mayotte. Les blindés bleus sont engagés dans la reconnaissance des axes et leur dégagement grâce à leur lame pour permettre aux secours d'accéder aux zones dévastées par le cyclone Chido. Les VBRG et leurs équipages font partie d'une force de 800 gendarmes comprenant des gendarmes départementaux et mobiles. Du côté de l'armée de terre, le RSMA (Régiment de Service Militaire Adapté et le 5ème RE (Régiment Étranger) sont également engagés dans les opérations de secours. Les images aériennes fournies par la Gendarmerie Nationale donnent un aperçu de l'ampleur de la tâche qui attend les secours dans les prochaines semaines. Blablachars profite de ce post pour renouveler son plein soutien aux forces de l'ordre, aux sapeurs-sauveteurs de la Sécurité Civile, aux militaires et à tous ceux qui sont engagées dans les opérations de secours, témoignant de leur engagement au service de notre population, qu'elle soit métropolitaine ou ultramarine.
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Un binôme de VBRG en action (Capture video France 2)
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Dégagement d'axe (Photo Gendarmerie Nationale)
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Sapeurs-sauveteurs de la Sécurité Civile en action (Capture videoTF1)
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La P4 (34 années de service pour ce modèle) toujours vaillante
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De même. Soutien à tous ceux engagés dans le secours et la protection de nos compatriotes !
RépondreSupprimerLes gendarmes /sauveteurs intervenant au sol près des VBRG, semblent bel et bien porter un gilet pare-balles. Sans doute ne faut-il pas exclure des agissements particuliers...Ce qui frappe aussi sur beaucoup d'images vues portant sur les zones sinistrées, c'est qu'on ne voit pratiquement aucune personne provenant de la population locale. Ils est vrai que les survivants ont sans doute eu la peur de leur vie et sont sans doute encore sous choc psychologique "post-traumatique", ce qui fait qu'ils restent à l'abri ? Bon courage, en tout cas, aux forces de secours et aux populations impactées !
RépondreSupprimerLes gendarmes /sauveteurs intervenant au sol près des VBRG, semblent bel et bien porter un gilet pare-balles. Sans doute ne faut-il pas exclure des agissements particuliers...Ce qui frappe aussi sur beaucoup d'images vues portant sur les zones sinistrées, c'est qu'on ne voit pratiquement aucune personne provenant de la population locale. Ils est vrai que les survivants ont sans doute eu la peur de leur vie et sont sans doute encore sous choc psychologique "post-traumatique", ce qui fait qu'ils restent à l'abri ? Bon courage, en tout cas, aux forces de secours et aux populations impactées !
RépondreSupprimerCourage, abnégation et respect à toutes les forces agissantes.
RépondreSupprimerDépartement pauvre et isolé, cette île ainsi que celle de La Réunion faisaient l'objet d'une réflexion sur un renforcement militaire dans le contexte Indo-Pacifique. Là, rattrapé par un événement climatique dévastateur, l'élongation par rapport à la métropole impose des moyens aériens, maritimes et de prėpositionnement. Dans le contexte actuel et celui prévisible, l'effort devra être concret, y compris pour une reconstruction durable et adaptée aux conditions climatiques. Tous les Ministères sont concernés.
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